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Ce conte de Noël, qui emprunte beaucoup au folklore scandinave (il y est notamment question de Krampus, l’équivalent du Père Fouettard), raconte comment un orphelin va tenter de sauver le Père Noël, prisonnier de son sinistre alter ego dans un monde imaginaire. Destiné aux tout petits, le premier long métrage de Jacob Ley dispense une morale de bon aloi, conforme à l’esprit de Noël. Visuellement, c’est une réussite incontestable : avec son rendu original en papier découpé sur fond de décors 3D, il dénote un style naïf et touchant parfaitement adapté à l’histoire. Christophe Narbonne