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Avec son savoir-faire de général d’armée et son penchant pour les avancées techniques, Ridley Scott était tout indiqué pour adapter le best-seller d’Andy Weir qui confronte, sans les opposer, science et conscience, individuel et collectif, voyage intérieur et expédition intergalactique. Logiquement, le résultat est spectaculaire et intimiste. Matt Damon fait un Robinson Crusoé idéal, qui survit en bonne part grâce à son sens de l’humour et est amené à arbitrer (de très loin) des conflits pratiques autant qu’éthiques, impliquant une galerie de personnages complexes. Jeff Daniels représente le dirigeant obligé de prendre des décisions difficiles sous la pression d’intérêts contradictoires, et parfois à l’encontre de ses propres sentiments. Face à lui, Sean Bean est un scientifique à l’esprit critique et farouchement indépendant, mais qui se défile facilement dès qu’il s’agit d’assumer des décisions. Autre responsable, l’astronaute jouée par Jessica Chastain n’a toutefois rien d’une nouvelle Ripley. En guise de monstre, elle n’affronte que la bureaucratie et son rôle souffre d’ellipses probablement dues à la nécessité de maintenir la durée du film en dessous des 2 h 20 réglementaires.
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Avec son savoir-faire de général d’armée et son penchant pour les avancées techniques, Ridley Scott était tout indiqué pour adapter le best-seller d’Andy Weir qui confronte, sans les opposer, science et conscience, individuel et collectif, voyage intérieur et expédition intergalactique. Logiquement, le résultat est spectaculaire et intimiste. Matt Damon fait un Robinson Crusoé idéal, qui survit en bonne part grâce à son sens de l’humour et est amené à arbitrer (de très loin) des conflits pratiques autant qu’éthiques, impliquant une galerie de personnages complexes. Jeff Daniels représente le dirigeant obligé de prendre des décisions difficiles sous la pression d’intérêts contradictoires, et parfois à l’encontre de ses propres sentiments. Face à lui, Sean Bean est un scientifique à l’esprit critique et farouchement indépendant, mais qui se défile facilement dès qu’il s’agit d’assumer des décisions. Autre responsable, l’astronaute jouée par Jessica Chastain n’a toutefois rien d’une nouvelle Ripley. En guise de monstre, elle n’affronte que la bureaucratie et son rôle souffre d’ellipses probablement dues à la nécessité de maintenir la durée du film en dessous des 2 h 20 réglementaires.
Toutes les critiques de Seul sur Mars
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Les choix de prises de vues, qui mêlent images brutes et compositions sophistiquées, l’excellence des effets spéciaux, qui rendent impossible la distinction entre les extérieurs tournés dans le désert jordanien et les plans en studio, font l’écosystème idéal pour cette étrange créature de cinéma qu’est Mark Watney.
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Les images sont spectaculaires. Filmées en Jordanie, les scènes qui se déroulent sur Mars sont sublimes.
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Les choix de prises de vues, qui mêlent images brutes et compositions sophistiquées, l’excellence des effets spéciaux, qui rendent impossible la distinction entre les extérieurs tournés dans le désert jordanien et les plans en studio, font l’écosystème idéal pour cette étrange créature de cinéma qu’est Mark Watney.
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(...) une magistrale leçon de survie et d'optimisme, une très belle aventure humaine.
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Seul sur Mars est puissant et émouvant et peut se vanter d'avoir une performance impressionnante de Matt Damon.
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Matt Damon est formidable, mais ce n'est absolument pas un one-man show.
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(...) une magistrale leçon de survie et d'optimisme, une très belle aventure humaine.
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Seul sur Mars va faire bien plus que rapporter une tonne de fric à la Fox, il pourrait sans doute raviver l'intérêt autour du programme spatial et inspirer une nouvelle génération d'astronautes.
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"Seul sur Mars" est puissant et émouvant et peut se vanter d'avoir une performance impressionnante de Matt Damon.
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Matt Damon est formidable, mais ce n'est absolument pas un one-man show.
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"Seul sur Mars" va faire bien plus que rapporter une tonne de fric à la Fox, il pourrait sans doute raviver l'intérêt autour du programme spatial et inspirer une nouvelle génération d'astronautes.
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C'est la meilleure chose que Ridley Scott et Matt Damon ont fait depuis des années.
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L'aventure de science-fiction de Ridley Scott est le genre de films que l'on meurt d'envie de conseiller à nos amis dès qu'on sort du ciné.
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C'est la meilleure chose que Ridley Scott et Matt Damon ont fait depuis des années.
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Non seulement le film souligne l'importance d'utiliser les maths et la physique pour résoudre des problèmes, mais il rend également un scénar basé sur des questions scientifiques aussi excitant et imprévisible que ceux impliquant des bastons et des explosions à tout va.
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L'aventure de science-fiction de Ridley Scott est le genre de films que l'on meurt d'envie de conseiller à nos amis dès qu'on sort du ciné.
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Non seulement le film souligne l'importance d'utiliser les maths et la physique pour résoudre des problèmes, mais il rend également un scénar basé sur des questions scientifiques aussi excitant et imprévisible que ceux impliquant des bastons et des explosions à tout va.
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Les images sont spectaculaires. Filmées en Jordanie, les scènes qui se déroulent sur Mars sont sublimes.
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Même si la bande-annonce appuie sur le drame, c’est bien un film de survie mixé à la comédie que signe Ridley Scott. Un pari osé complètement réussi.
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Si Exodus, plutôt réussi, faisait l’an dernier de Ridley Scott un héritier possible de Cecil B. DeMille, ce Seul sur Mars, pourtant très peu grandiloquent, est en effet une sorte de “greatest show out of earth”.
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Un divertissement spectaculaire et intelligent.
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"Seul sur Mars" renoue avec une vigueur et une conviction qui semblaient avoir déserté un Ridley Scott en pilotage automatique depuis "Black Hawk Down".
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Même si la bande-annonce appuie sur le drame, c’est bien un film de survie mixé à la comédie que signe Ridley Scott. Un pari osé complètement réussi.
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Seul compte le divertissement, entre deux séquences spectaculaires dans le cosmos et une ode à l'héroïsme. Un feel good movie galactique, ça existe? Et comment.
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Un divertissement spectaculaire et intelligent.
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Plus divertissant que "Gravity", plus accessible qu'"Interstellar", "Seul sur Mars" offre un souffle bienvenu à Ridley Scott, après les récents trous noirs de sa filmographie.
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Seul compte le divertissement, entre deux séquences spectaculaires dans le cosmos et une ode à l'héroïsme. Un feel good movie galactique, ça existe? Et comment.
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Aussi cynique que je sois sur la manière dont les budgets monstres des blockbusters dominent les mentalités des studios, je n'arrive pas à imaginer qu'une personne ne puisse pas aimer ce film.
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Plus divertissant que Gravity, plus accessible qu'Interstellar, Seul sur Mars offre un souffle bienvenu à Ridley Scott, après les récents trous noirs de sa filmographie.
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Il s'avère que rester bloqué sur Mars peut être amusant.
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Ce qui est émouvant avec ce film, avant toute chose, c'est qu'il est réellement sur le fait d'être humain.
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En résumé, un "feel good movie" spatial bien équilibré, qui dose adéquatement humour et suspense, et redorera le blason un peu terni de Scott auprès du public (et de la critique), mais laissera un peu sur leur faim les vrais fans de SF et de récits de survie.
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L’humour et l’optimisme sans faille du personnage principal accouchent d’un récit divertissant et passionnant qui réussit à distiller aux moments propices le suspense autant que l’émotion.
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En résumé, un "feel good movie" spatial bien équilibré, qui dose adéquatement humour et suspense, et redorera le blason un peu terni de Scott auprès du public (et de la critique), mais laissera un peu sur leur faim les vrais fans de SF et de récits de survie.
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Aussi cynique que je sois sur la manière dont les budgets monstres des blockbusters dominent les mentalités des studios, je n'arrive pas à imaginer qu'une personne ne puisse pas aimer ce film.
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L’humour et l’optimisme sans faille du personnage principal accouchent d’un récit divertissant et passionnant qui réussit à distiller aux moments propices le suspense autant que l’émotion.
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Sir Ridley Scott a craqué pour l’excellent roman de science-fiction "Seul sur Mars" d’Andy Weir au point d’en livrer une adaptation brillante.
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Il s'avère que rester bloqué sur Mars peut être amusant.
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Ce qui est émouvant avec ce film, avant toute chose, c'est qu'il est réellement sur le fait d'être humain.
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Sir Ridley Scott a craqué pour l’excellent roman de science-fiction "Seul sur Mars" d’Andy Weir au point d’en livrer une adaptation brillante.
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Divertissant et malin, le film de Ridley Scott ne marquera pas les mémoires mais ne manque pas de panache.
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Si sa crédibilité joue pour le film, sa vraie force réside dans son humour, symbolisé par les monologues teintés d'ironie que délivre un Matt Damon tout en sobriété.
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Divertissant et malin, le film de Ridley Scott ne marquera pas les mémoires mais ne manque pas de panache.
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Le film demeure de bout en bout fidèle à ses intentions, assumant ses ambitions et conservant toutes les qualités d’un grand divertissement de cinéma, nonobstant son caractère prévisible.
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Si sa crédibilité joue pour le film, sa vraie force réside dans son humour, symbolisé par les monologues teintés d'ironie que délivre un Matt Damon tout en sobriété.
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Si "Exodus", plutôt réussi, faisait l’an dernier de Ridley Scott un héritier possible de Cecil B. DeMille, ce "Seul sur Mars", pourtant très peu grandiloquent, est en effet une sorte de “greatest show out of earth”.
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Seul sur Mars renoue avec une vigueur et une conviction qui semblaient avoir déserté un Ridley Scott en pilotage automatique depuis Black Hawk Down.
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Efficace et divertissant, "Seul sur Mars" trébuche sur son manque de cohérence de ton. Mais Matt Damon, impérial, sauve la mise.
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"Seul sur Mars" est solidement ancré dans notre monde et revêt tous les apparats d’un feel-good-drama commercial finalement assez classique. Sans d’autres prétentions que celle de divertir, le plus intelligemment possible, à défaut de le faire de manière particulièrement originale.
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Seul sur Mars est solidement ancré dans notre monde et revêt tous les apparats d’un feel-good-drama commercial finalement assez classique. Sans d’autres prétentions que celle de divertir, le plus intelligemment possible, à défaut de le faire de manière particulièrement originale.
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Efficace et divertissant, Seul sur Mars trébuche sur son manque de cohérence de ton. Mais Matt Damon, impérial, sauve la mise.
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A l'arrivée, les discussions scientifiques deviennent incompréhensibles, les enchaînements musicaux fusent et la moindre action qui devrait prendre 5 minutes en dure 15.
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Seul sur Mars est solidement ancré dans notre monde et revêt tous les apparats d’un feel-good-drama commercial finalement assez classique. Sans d’autres prétentions que celle de divertir, le plus intelligemment possible, à défaut de le faire de manière particulièrement originale.
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Avec "Seul sur Mars", Ridley Scott invente un genre de film de recrutement pour galvaniser les nouvelles générations et lever des cohortes de futurs pionniers prêts à tenter le voyage et l’installation sur la planète rouge.
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Avec Seul sur Mars, Ridley Scott invente un genre de film de recrutement pour galvaniser les nouvelles générations et lever des cohortes de futurs pionniers prêts à tenter le voyage et l’installation sur la planète rouge.
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A l'arrivée, les discussions scientifiques deviennent incompréhensibles, les enchaînements musicaux fusent et la moindre action qui devrait prendre 5 minutes en dure 15.
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(...) "Seul sur Mars", prévisible chewing-gum de l'oeil où Ridley Scott se repose sur son savoir-faire.
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(...) Seul sur Mars, prévisible chewing-gum de l'oeil où Ridley Scott se repose sur son savoir-faire.
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En dehors des scènes d’action, d’ailleurs trop rares, le manque d’empathie que l’on éprouve empêche d’entrer complètement dans l’histoire et de nous émouvoir.
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Le rendu visuel est impressionnant. Le casting tout autant (...) Mais est-ce bien suffisant ? Le film ne semble pas vraiment réussir à surprendre et à insuffler une véritable émotion.
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En dehors des scènes d’action, d’ailleurs trop rares, le manque d’empathie que l’on éprouve empêche d’entrer complètement dans l’histoire et de nous émouvoir.
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Le rendu visuel est impressionnant. Le casting tout autant (...) Mais est-ce bien suffisant ? Le film ne semble pas vraiment réussir à surprendre et à insuffler une véritable émotion.
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Éloge naïf de la collaboration internationale, seule capable de couronner de succès une mission impossible sur le papier. Ou habile tentative de Hollywood pour séduire le gigantesque marché chinois, nouvel eldorado des blockbusters ?
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Éloge naïf de la collaboration internationale, seule capable de couronner de succès une mission impossible sur le papier. Ou habile tentative de Hollywood pour séduire le gigantesque marché chinois, nouvel eldorado des blockbusters ?
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Tiré du roman de science fiction à peine écrit d'Andy Weir, sorte de SF pour les nuls, l'interminable film de Ridley Scott, qui ne décolle jamais, serait drôle au second degré s'il n'était grotesque au premier.
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Tiré du roman de science fiction à peine écrit d'Andy Weir, sorte de SF pour les nuls, l'interminable film de Ridley Scott, qui ne décolle jamais, serait drôle au second degré s'il n'était grotesque au premier.