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Avec cette histoire de lycéen qui s’introduit dans l’intimité familiale de l’un de ses professeurs, Étienne Faure marche sur les terres du thriller psychologique. Mais ici, la manipulation sexuelle et le discours sur l’enracinement n’ont aucun relief à cause d’une mise en scène lourdement explicative. Desservi en outre par des dialogues insipides, Désordres s’enlise dans un premier degré qui le dessert cruellement. Reste le magnétisme d’Isaach de Bankolé et de Niels Schneider, qui offrent de rares étincelles à ce suspense cousu
fil blanc.
Toutes les critiques de Désordres
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Tourné avec peu de moyens, ce thriller psychologique autour de l’ambiguïté sexuelle et de la manipulation ne trouve pas toujours le ton juste. Manque d’audace et situations trop convenues plombent le récit. Reste une tension qui va crescendo à mesure que le mystère s’épaissit autour des personnages jusqu’à un final surprenant et sans concessions.
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Ce thriller psychologique convaincant pâtit néanmoins de quelques longueurs et d'un dénouement tarabiscoté.
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Thriller psychologique maladroit, trop tiré par les cheveux pour déranger vraiment.
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Encore une histoire de vie professorale bouleversée par l'irruption d'un élève pervers. Mais n'est pas François Ozon qui veut et ce thriller croule sous les conventions, malgré le charme de Niels Schneider (ici avec Lucien Guignard), découvert dans Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan.