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On ne va pas y aller par quatre chemins. Transformers 3 est sans doute le meilleur de la série, le plus impressionnant. Une vraie réinvention stylistique. En tout cas, pour sa dernière partie. Parce que cette face cachée de la lune est construit en deux parties distinctes et délimitées au bulldozer. Après les 80 minutes d’exposition suivent 80 minutes de destruction massive; durant lesquelles Optimus et BumbleBee deviennent les vras héros et prennent le relais de Shia et sa nouvelle girlfriend. Si l’écriture du début (gonzo, à un stade terminal) fout tout par terre - et que le beau Michael pense la comédie en simple terme d’hystérie shooté au fish-eye -, Bay dépasse toutes nos attentes lorsque les robots entrent en scène et que le concerto de toile froissé commence. Tout entier dévoué à la beauté chromée et l’étrange mélancolie d’un Optimus Prime lessivé, ce film dans le film, tient d’autant plus la route que l’action y rebondit constamment sur des enjeux narratifs tangibles et excitants. D'un seul coup, Transformers 3 devient le blockbuster le plus dingue de l'année. Et sans doute le meilleur film de Bay. Ce n'est pas rien.
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On ne va pas y aller par quatre chemins. Transformers 3 est sans doute le meilleur de la série, le plus impressionnant. Une vraie réinvention stylistique. En tout cas, pour sa dernière partie. Parce que cette face cachée de la lune est construit en deux parties distinctes et délimitées au bulldozer. Après les 80 minutes d’exposition suivent 80 minutes de destruction massive; durant lesquelles Optimus et BumbleBee deviennent les vras héros et prennent le relais de Shia et sa nouvelle girlfriend. Si l’écriture du début (gonzo, à un stade terminal) fout tout par terre - et que le beau Michael pense la comédie en simple terme d’hystérie shooté au fish-eye -, Bay dépasse toutes nos attentes lorsque les robots entrent en scène et que le concerto de toile froissé commence. Tout entier dévoué à la beauté chromée et l’étrange mélancolie d’un Optimus Prime lessivé, ce film dans le film, tient d’autant plus la route que l’action y rebondit constamment sur des enjeux narratifs tangibles et excitants. D'un seul coup, Transformers 3 devient le blockbuster le plus dingue de l'année. Et sans doute le meilleur film de Bay. Ce n'est pas rien.
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C’est tonitruant pendant deux heures et demie. Et donc trop long. Dans ce vacarme de ferraille assourdissant, les acteurs tentent tant bien que mal d’exister.
Toutes les critiques de Transformers 3 : La Face cachée de la lune
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Bien qu’une brise d’autodérision plus ou moins volontaire rafraîchit le récit ici ou là, cette rutilante série Z s’avère bonne pour la casse.
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Bien qu’une brise d’autodérision plus ou moins volontaire rafraîchit le récit ici ou là, cette rutilante série Z s’avère bonne pour la casse.
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Comme à son habitude Michael Bay sert un tsunami d'action diluvien de 2 h 37. Dans l'hystérie générale qui s'offre en plus du reste une 3D agressive, on pourra retenir quelques séquences hystériques (mais rigolotes) (...) le spectateur a à peine le temps de reprendre son souffle pour s'apercevoir que la bimbo nouvelle de l'épisode, Rosie Huntington-whiteley, ne fait pas oublier Megan Fox
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Comme à son habitude Michael Bay sert un tsunami d'action diluvien de 2 h 37. Dans l'hystérie générale qui s'offre en plus du reste une 3D agressive, on pourra retenir quelques séquences hystériques (mais rigolotes) (...) le spectateur a à peine le temps de reprendre son souffle pour s'apercevoir que la bimbo nouvelle de l'épisode, Rosie Huntington-whiteley, ne fait pas oublier Megan Fox
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Shia La Beouf, jeune premier énergique est entouré par la longiligne Rosie Huntington-whiteley et par Patrick Dempsey, ex-docteur Mamour de Grey’s Anatomy qui malmène son image de séducteur. L’astronaute Buzz Aldrin en personne vient aussi faire un petit coucou. Pour public joueur…
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Shia La Beouf, jeune premier énergique est entouré par la longiligne Rosie Huntington-whiteley et par Patrick Dempsey, ex-docteur Mamour de Grey’s Anatomy qui malmène son image de séducteur. L’astronaute Buzz Aldrin en personne vient aussi faire un petit coucou. Pour public joueur…
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Après un joli démarrage laissant entrevoir un film de meilleure tenue que les précédents, Transformers 3 reprend ses mauvaises habitudes et s'enlise dans une durée interminable. Dommage, le champion du blockbuster régressif tenait son chef d'oeuvre.
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Après un joli démarrage laissant entrevoir un film de meilleure tenue que les précédents, Transformers 3 reprend ses mauvaises habitudes et s'enlise dans une durée interminable. Dommage, le champion du blockbuster régressif tenait son chef d'oeuvre.
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par Sophie Grassin
C’est tonitruant pendant deux heures et demie. Et donc trop long. Dans ce vacarme de ferraille assourdissant, les acteurs tentent tant bien que mal d’exister.
Dans le plus gros coffre à jouets du monde, le film le plus pourri de l’été.
Dans le plus gros coffre à jouets du monde, le film le plus pourri de l’été.
A la fin du film, la ville de Chicago est en ruine, tout comme la confiance que l'on pouvait avoir dans la capacité d'Hollywood à produire des spectacles qui respectent et préservent les qualités (intellectuelles, morales, affectives) de ses spectateurs.
A la fin du film, la ville de Chicago est en ruine, tout comme la confiance que l'on pouvait avoir dans la capacité d'Hollywood à produire des spectacles qui respectent et préservent les qualités (intellectuelles, morales, affectives) de ses spectateurs.
Michael Bay conclut sa trilogie par un épisode inscrivant plus que jamais les robots transformables d’Hasbro dans un programme mêlant courses-poursuites, explosions et humour bon enfant.
Michael Bay conclut sa trilogie par un épisode inscrivant plus que jamais les robots transformables d’Hasbro dans un programme mêlant courses-poursuites, explosions et humour bon enfant.