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Las : son odyssé bunker, forme hybride d'une BD de Bilal qui serait entrée en collision avec quelques plas de Kubrick, n'est pas la petite merveille espérée.
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L'auteur de La cité des enfants perdus aurait-il perdu son âme d'enfant? Non. La preuve, le vaisseau spatial sur lequel se déroulent ces événements incroyables a été construit tout en rubik's cube.
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Si, comme à son habitude, Caro sait donner vie à un univers visuel cohérent, il n'apporte vraiment rien de nouveau dans l'espace - cinématographique. Une fois de plus, la maigreur anorexique de l'intrigue - juste bonne à gonfler quelques bulles de BD -, l'humour inexistant, le premier degré affligeant, les dialogues autistes et un final christique ridicule précipitent les ambitions du réalisateur dans un trou noir.
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Dante 01 relancera-t-il la carrière du talentueux Caro ? Pas sûr. (...) Huis clos spatial avec des éclairs de philosophie boursouflée, Dante 01 sonne désespérément creux. Hors d'âge et pourtant démodé.
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Et, le septième jour après la sortie du précédent film futuriste pessimiste (Eden Log, avec Clovis Cornillac), le cinéma français se paya le luxe d'un second film pessimiste futuriste (avec Lambert Wilson). Malheureusement, les producteurs oublièrent d'y consacrer les moyens nécessaires.