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Une plongée dans la société hiérarchisée des macaques à toque du Sri Lanka, où l’on suit la guenon Maya qui essaie de survivre. Joliment shooté au milieu d’une cité abandonnée et trafiqué (comme si un documentaire devait forcément être objectif), le dernier Disney Nature ne parle pas que de singes qui se papouillent. Il raconte une histoire pleine de rebondissements et d’archétypes shakespeariens (trois sorcières, le souverain menacé, la conquête et la perte du pouvoir), une guerre entre clans, la lutte d’une mère célibataire contre le système, mais aussi la menace que représentent les humains pour les animaux. Tout ça? Oui.
Toutes les critiques de Au royaume des singes
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) un voyage passionnant au cœur de la nature – bien faite – et de ses habitants.
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(...) un documentaire ludique, pédagogique et visuellement époustouflant, dans un décor digne du Livre de la jungle.
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(...) un très joli documentaire qui alterne les séquences de rire et d’émotion. On a le souffle coupé lorsqu’un kidnapping de bébé macaque a lieu... et on se laisse aller à de sérieux fous rires lorsqu’ils gâchent une fête d’anniversaire, après une virée en ville ! Un beau spectacle animalier, un vrai coup de cœur.
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Pas franchement neuf, mais mignon.
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Commentaire pompeux, images impressionnantes.
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Le film d’une durée de 81 minutes, suffisant pour permettre à l’histoire de s’épanouir, constitue un divertissement de qualité contenant quelques belles pépites oniriques ou humoristiques ; il devrait ravir les têtes blondes mais également les parents.
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Ce qu’on a aimé : les paysages, sublimes, comme toujours. (...) Ce qu’on a moins aimé : le scénario romancé, dans lequel la gentille macaque pauvre et soumise devient princesse. La bande son, aux musiques US criardes totalement hors de propos.
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Ce nouveau Disneynature applique une recette qui ne change pas – de belles images au service d’un propos écologique. Mais cette fois avec des singes particulièrement drôles et attachants.
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Le plaisir réel que procurent certaines scènes ne compense pas l’irrépressible ennui causé par un montage qui ment de manière éhontée, témoignant d’autant de mépris pour son sujet que pour l’intelligence du spectateur.