En plein rentrée théâtrale et cinématographique, Carole Bouquet revient sur le devant de la scène avec une pièce de théâtre, une série télévisée et un tournage avec Christian Clavier. Ainsi, à partir du mois d'octobre, elle sera face à Bruno Wolkowitch dans Les Hommes de l'ombre, série politique où elle succède à Nathalie Baye. Sur scène, elle est l'héroïne de Dispersion de Harold Pinter au Théâtre de l’Oeuvre à Paris jusqu'au 15 novembre. Et enfin, Carole Bouquet rejoint Christian Clavier sur le tournage du prochain film de Patrice Leconte, une adaptation de la pièce à succès de Florian Zeller, Une Heure de tranquillité, joué au théâtre par Fabrice Luchini.Une belle actualité pour l'actrice de 57 ans qui, pour le magazine Elle, prend le temps dans son emploi du temps surbooké de revenir avec émotion et franchise sur son enfance, ses enfants, ses anciens amours, son bonheur d'être grand-mère et sur le tournage de James Bond.Pour Carole Bouquet, la famille est essentielle. Maman de deux grands garçons et grand-mère d'une petite fille, que ce soit pour le magazine Elle ou sur le plateau de Vivement Dimanche, l'actrice parle sans cesse et avec fierté de ses fils : "Je me suis beaucoup amusée avec mes enfants, Dimitri et Louis. Tout était prétexte à des fêtes déguisées. Ça ne m'étonne pas qu'ils aient choisi des carrières artistiques. Louis est réalisateur, Dimitri est producteur". Dimitri Rassam, l'aîné de Carole Bouquet, a d’ailleurs produit l'un des dernier films de l'actrice, Mauvaise Fille.Avec la fille de Dimitri, la petite Darya 3 ans, Carole Bouquet découvre les joies d'être grand-mère : "Moi qui n'ai eu des fils, je découvre avec Darya l'univers des petites filles. Toute petite elle m'appelait 'Cayole'. C'est devnu mon nom de grand-mère".Sans interdit, Carole Bouquet se livre et parle sans censure de son ancien amour pour Gerard Depardieu ("Je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi doué. C'est un homme extraordinaire"), ses amitiés avec Loulou de la Falaise (la muse de Yves Saint Laurent) et Peter Beard, ses caprices d'égéries Chanel ("Les femmes de chambre s'en souviennent"), son spleen d'adolescente ("Je n'avais aucune confiance en moi") et livre ses anecdotes du tournage de James Bond Rien que pour vos yeux (1980) : "Je me suis incroyablement ennuyée sur le tournage".Retrouvez l'intégralité de l'interview confessions et souvenirs dans le magazine Elle du 19 septembre 2014.MC
Commentaires