Toutes les critiques de Un week-end à Paris

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Il y avait tout à craindre de ce long métrage Disney mettant en scène le créateur du fameux studio. Mais si le grand Walt apparaît bien comme un bonhomme jovial et sympathique (le portrait est très légèrement ironique), il n’est en l’occurrence pas le sujet du film, qui se concentre sur P.L. Travers, monstre de névroses et de fragilité viscéralement attaché à sa nounou imaginaire. D’habiles flash-back racontent l’enfance de cette Australienne ballottée entre un père alcoolique qu’elle adorait et une mère dépressive qu’elle ignorait. Petit à petit, avec le concours de scènes au présent joliment croquées, se dessine le portrait bouleversant d’une vieille fille hantée par un passé qu’elle exorcisa en partie dans son oeuvre. On parie que vous ne regarderez plus Mary Poppins du même oeil.

Les critiques de la Presse

  1. Financial Times
    par Nigel Andrews

    Ce film, dans son intégralité, continue de nous surprendre. Financial Times, Nigel Andrews.

  2. Les Fiches du cinéma
    par Nathalie Zimra

    “Un week-end à Paris”, où l'occasion douce-amère pour un couple de sexagénaires de faire un bilan à la fois personnel et conjugal, et d'éprouver la solidité de l'amour qui les unit. Délicieusement piquant.

  3. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Roger Michell pose avec humour la question de savoir comment raviver la flamme dans le coeur de celui ou celle qui, justement vous connaît par coeur.

  4. Total Film
    par James Mottram

    Un magnifique drame doux-amer, plus amer que doux.

  5. L'Humanité
    par Dominique Wideman

    une comédie dramatique réussie.

  6. Variety
    par Dennis Harvey

    Doux-amer, charmant et épineux.

  7. Positif
    par Fabien Baumann

    "Un week-end à Paris" échappe aux registres précédents de la provocation et de la comédie plan-plan (...).

  8. Hollywood Reporter
    par David Rooney

    Le film est un savant mélange de chaleur et de frissons, porté par les performances de Jim Broadbent et de Lindsay Duncan.

  9. Daily Teleghaph
    par David Gritten

    Sophistiqué, malin et drôle.

  10. Nouvel Obs
    par François Forestier

    C'est drôle, touchant, charmant : le réalisteur Roger Michell et l'écrivain et scénariste hanif Kureishi réussisent, pour leur troisième collaboration, une délicieuse comédie romantique. On sort de là avec le sourire aux lèvres, le coeur léger. Champagne !

  11. Culture box by france Tv
    par Jacky Bornet

    "Week-ends" est le troisième film avec Karin Viard sorti sur les écrans depuis janvier, après "L'Amour est un crime parfait" et "Lulu femme nue". Et on ne s'en plaint pas ! Trio gagnant avec ce film signé Anne Villacèque qui comme les précédents ("Petite chérie", "Riviera", "E-Love") l'a écrit et réalisé. Une comédie dramatique douce-amère, sur l'amour, l'amitié, l'habitude et la rupture.

  12. Critikat.com
    par Fabien Reyre

    une comédie so british pleine de bons mots et de situations rocambolesques sur fond de jolies images de cartes postales. Le film, en réalité, est un tout petit peu de tout cela (du moins dans son premier tiers) et surtout beaucoup plus.

  13. A voir à lire
    par Emma Martin

    D’hôtels en restaurants et de bistrots en musées, Lindsay Duncan et Jim Broadbent ravivent les chairs de leurs élans. Sous couvert de dénoncer leurs travers respectifs, ils exposent naïvement la tendresse qui les unit. A travers la pudeur de cadres modestes, Roger Michell prouve que l’affection peut être pour lui autre chose qu’un Coup de foudre convenu, à Notting Hill ou ailleurs. Et l’on se prend à rêver d’amour, le temps d’Un week end à Paris.

  14. Ecran Large
    par Simon Riaux

    Un Week-end à Paris n'est ni une carte postale sucrée, ni un drame fataliste, mais un curieux et touchant mélange, qui n'évite pas quelques longueurs verbeuses

  15. Le JDD
    par Alexis Campion

    Défendu à l’écran par deux magnifiques acteurs (Jim Broadbent et Lindsay Duncan), ce pingpong tendre et cruel entre deux antihéros rattrapés par le temps apparaît aussi touchant que vrai.

  16. Le Figaro
    par Etienne Sorin

    Le réalisateur de "Coup de foudre à Notting Hill" filme un couple d'Anglais sexagénaires de retour à Paris, trente ans après sa lune de miel. Une comédie douce-amère réjouissante.

  17. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Très écrit et dialogué, ce film, outre qu'il fait un tendre et piquant portrait de la capitale, remet en place, avec un petit pas de danse en prime, les dominos dispersés de la vie à deux.

  18. RTL
    par Stéphane Boudsocq

    Un peu bavard au début, formidable ensuite et notamment grâce à l'arrivée à l'écran de Jeff Goldblum que l'on n' avait plus vu en aussi bonne compagnie depuis longtemps.

  19. Télérama
    par Pierre Murat

    Conventionnel, a priori. Mais l'élégance de la mise en scène et des comédiens transforme la bluette en chronique mélancolique et cruelle. Une réussite.

  20. Time Out
    par Dave Calhoun

    Après ‘The Mother’ (2003) et ‘Venus’ (2007), voici la troisième collaboration entre le réalisateur de ‘Coup de foudre à Notting Hill’, Roger Michell, et l’écrivain Hanif Kureishi. Et autant vous le dire tout de suite : cette nouvelle comédie romantique est leur meilleure.

  21. Time Out
    par Dave Calhoun

    Joué avec légèreté, souvent très drôle, filmé dans Paris avec énergie et intelligence, boosté par les superbes Broadbent et Duncan.

  22. Cinenews.be
    par Sophie Rizzi

    Les deux protagonistes interprétés magistralement par Lindsay Duncan et Jim Broadbent vont vous emmener sur le chemin des questions existentielles, l’amour existe-t-il encore après 30 ans ou s’agit-il juste d’une habitude ? Avis aux amateurs de prise de tête romantique…

  23. Version Femina
    par Valérie Robert

    Entre petites querelles de ménage et visites touristiques convenues, le film se traîne gentiment. Mais les dialogues, signés Hanif Kureishi, sont souvent brillants et très drôles. Et Jim Broadbent et Lindsay Duncan, excellents acteurs, incarnent avec gourmandise la difficulté de s’aimer pour la vie.

  24. L'Express
    par Elise Lépine

    Jim Broadbent et Lindsay Duncan forment un couple d'Anglais qui fêtent leurs trente ans de mariage. C'est un grand plaisir de les voir jouer et on pourrait presque s'en contenter. Dommage que le scénario, dans le dernier tiers, fige leurs rapports dans une remise en question absurde. La scène finale est formidable.

  25. Toutlecine.com
    par Camille Esnault

    Une escapade aussi cruelle que charmante, puisqu’elle fait finalement gagner les sentiments encore et encore.

  26. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    Un prestigieux pedigree n’assure pas automatiquement la réussite d’un film.

  27. Irish Times
    par Donald Clarke

    Duncan et Broadbent sont merveilleux, particulièrement Duncan dont les yeux pourrait éduquer une classe lors d’un cours d’art dramatique.

  28. Le Monde
    par Franck Nouchi

    Ça arrive aux meilleurs de connaître un manque d'inspiration. L'important, c'est qu'à la fin, un ami croisé dans la rue (interprété par Jeff Goldblum) trouve la solution : « L'amour est plus fort que tout. » On ne saurait mieux dire.

  29. Daily Express
    par Henry Fitzherbert

    Un film joliment interprété, sincère et qui laisse aller à la réflexion, cependant il aurait mérité quelques rires en plus.

  30. Little White Lies
    par Basia Cummings

    Un film pour les seniors névrosés mais tout de même plaisant.

  31. Guardian
    par Peter Bradshaw

    Duncan et Broadbent fournissent une performance chaleureuse et intelligente. Leurs visages reflètent les fantômes de Meg et Nick : boudeur, excité et heureux.

  32. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Une balade légère, qui vaut surtout pour la prestation de Jim Broadbent et Lindsay Duncan.

  33. Les Cahiers du cinéma
    par Joachim Lepastier

    Pittoresque consolateur, artifices boulevardiers (…) et démagogiques (…). Autant d’onctuosités qui rendent le film totalement inoffensif.

  34. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Nick et Meg viennent à Paris fêter leurs trente ans de mariage lors d’un week-end en amoureux. Entre les galères d’hôtel, la suite hors de prix dans un palace, les querelles, les non-dits, la rencontre avec un vieil ami envahissant (Jeff Goldblum), la lassitude, le séjour n’est pas de tout repos. Mais l’amour est toujours présent, et ce film malheureusement trop bavard reste une croustillante réflexion sur le couple.

  35. TLC - Toute la Culture
    par Gilles Herail

    Episodiquement touchant, parfois drôle, Un weekend à Paris nous plonge dans une douce torpeur, une forme d’indifférence polie où même les (excellents) acteurs peinent à nous passionner. Sans intérêt.