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Un homme emménage dans un appartement désordonné où habite une jolie et mystérieuse Iranienne. Ils vont unir leurs solitudes mais surtout se retrouver coincés en Bretagne pour aider un copain du héros à sortir d’une dépression – si on a bien tout suivi, puisque le script, tiré d’une nouvelle de Peter Stamm, est incompréhensible. Dommage, car le début intrigant avait tout d’un cauchemar lynchien (avec une jolie photo à la Bill Pope, traversée de belles idées chromatiques) qui aurait mérité un développement. C’était une fausse piste.
Toutes les critiques de Drift Away
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Adapté d'une nouvelle de Peter Stamm, le premier film de Daniel Sicard épouse les divagations de son titre anglais et prend le risque du chemin buissonnier.
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Un envoûtant climat de mélancolie romantique et ténébreuse.
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Drift Away (à la dérive) nous fait partager quelques jours d’une rencontre qui ne mène à rien. Voyage dans l’intériorité de personnages mous et vides. Une phrase récurrente : « il faut que j’aille dormir » . Ce n'est pas ici le slogan de la mélancolie mais bien celui de la misanthropie.
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Des trentenaires se connaissant à peine partent en Bretagne où ils font le constat de leur incapacité à communiquer. Vous êtes encore là ? Un bon conseil : quelles que soient vos fautes, ne vous infligez pas cette purge lourdingue et prétentieuse.