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Ce qui frappe dans ce premier long, c’est le regard précis et enveloppant que Florant Gouëlou pose sur le monde des drag queens, au fil d’un récit où un trentenaire hétéro en couple tombe amoureux de l’une d’elles (Romain Eck, dément). Il signe une déclaration d’amour à la culture queer en faisant un sort aux clichés. Dommage que son scénario ne parvienne pas plus à dynamiter les codes de la comédie romantique qui lui servent de carcan.
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Trois nuits par semaine
Première
(1 critique)