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Fernando Trueba (Belle époque) porte à l'écran son livre de chevet, le portrait - écrit par son fils comme une lettre d'amour - du docteur Héctor Abad Gomez. Un père de famille adoré de ses six enfants et un héros du quotidien colombien, médecin humaniste et engagé qui, faisant fi des menaces pesant sur lui dans la ville de Medellín, gangrénée par la violence des politiques et des narco-trafiquants dans les années 70 et 80, n'a jamais faibli dans sa lutte contre la misère. Le cinéaste encapsule vingt ans d'un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d'une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu'il survole plus qu'il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage. Voilà pourquoi son film nous laisse sur notre faim, en dépit de la composition éclairée du toujours impeccable Javier Cámara dans le rôle central.
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Fernando Trueba (Belle époque) porte à l'écran son livre de chevet, le portrait - écrit par son fils comme une lettre d'amour - du docteur Héctor Abad Gomez. Un père de famille adoré de ses six enfants et un héros du quotidien colombien, médecin humaniste et engagé qui, faisant fi des menaces pesant sur lui dans la ville de Medellín, gangrénée par la violence des politiques et des narco-trafiquants dans les années 70 et 80, n'a jamais faibli dans sa lutte contre la misère. Le cinéaste encapsule vingt ans d'un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d'une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu'il survole plus qu'il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage. Voilà pourquoi son film nous laisse sur notre faim, en dépit de la composition éclairée du toujours impeccable Javier Cámara dans le rôle central.
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Fernando Trueba (Belle époque) porte à l'écran son livre de chevet, le portrait - écrit par son fils comme une lettre d'amour - du docteur Héctor Abad Gomez. Un père de famille adoré de ses six enfants et un héros du quotidien colombien, médecin humaniste et engagé qui, faisant fi des menaces pesant sur lui dans la ville de Medellín, gangrénée par la violence des politiques et des narco-trafiquants dans les années 70 et 80, n'a jamais faibli dans sa lutte contre la misère. Le cinéaste encapsule vingt ans d'un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d'une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu'il survole plus qu'il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage. Voilà pourquoi son film nous laisse sur notre faim, en dépit de la composition éclairée du toujours impeccable Javier Cámara dans le rôle central.