Ce soir, Thomas Sotto accueillait sur son plateau de Capital, la candidate Front National à l'élection présidentielle, Marine Le Pen. Cette dernière a tenté de convaincre l'animateur qu'une taxe sur les produits importés de 3% n'augmenteraient les prix que de 1%... dessin à l'appui !
Ce soir, Thomas Sotto accueillait sur son plateau de Capital, la candidate Front National à l'élection présidentielle, Marine Le Pen. Cette dernière a tenté de convaincre l'animateur qu'une taxe sur les produits importés de 3% n'augmenteraient les prix que de 1%... dessin à l'appui ! La campagne présidentielle bat son plein, et la candidate du Front Nationale, Marine Le Pen continue de faire le tour de tous les médias. Après avoir présenté son programme économique le 12 janvier 2012, elle avait été prise en défaut sur le plateau de Florence Dauchez dans Dimanche + sur Canal+. Sur le même terrain, celui de l'économie, la leader extrémiste a tenté de se faire comprendre par Thomas Sotto qui l'accueillait sur le plateau de Capital. En effet, l'émission traitait notamment d'une éventuelle sortie de l'Euro au travers d'une véritable fiction.Lors de leurs échanges, le journaliste fait part d'une question d'un internaute (@Maximeng) :"Comment penser que les 3% de taxes sur les importations ne seront pas payées par les consommateurs ?"En effet, tel que l'a présenté Marine Le Pen lors de son discours du 12 janvier 2012, est prévue "la création d’une Contribution sociale sur l’importation, d’un montant de 3%, sur l’ensemble des biens et des services importés chaque année en France de l’étranger".Dès lors, elle s'est mise en tête de démontrer que les produits taxés à hauteur de 3% n'augmenteraient pour le consommateur que de 1%. Thomas Sotto, visiblement dubitatif face à cette affirmation insiste. Son interlocutrice décide alors de faire un schéma pour s'expliquer ! Une grande première ! Mais manifestement, sa démonstration n'a pas convaincu le journaliste de M6... Reste à savoir si à l'issue de ce coup de stylo, il y aura plus de 18% des Français qui trouveront "crédible" le programme économique de la leader frontiste, comme un sondage l'a montré en début de Capital.
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