Succès phénoménal de la série qui l’a rendue célèbre, parfum de scandale autour du couple qu’elle formait avec Tony Parker. Eva fascine le monde entier, mais qui est vraiment l’actrice qui joue Gabrielle ? Eléments de réponse avec Laurence Casanova du magazine Télé7 jours Sur les pubs qui longent les avenues de Los Angeles, on la reconnaît à peine. Pour la promotion d’Eva, son parfum, la brune électrisante a troqué son sourire mégawatts contre une mini-moue. Ces temps-ci, l’épouse a toutes les apparences d’une vraie « desperate » puisqu’elle aurait découvert des « sextos » (sms coquins) de son mari, Tony Parker, à sa maîtresse supposée, Erin Barry. Début décembre, l’actrice a d’ailleurs annoncé leur prochain divorce. Chagrin d’amour dure toute la vie ? Sauf que la bomba latina s’est récemment affichée avec le chanteur Eduardo Cruz, de dix ans son cadet et petit frère de Penelope. On lui prêterait même une liaison avec ce bel hidalgo depuis des mois. Serait-elle à l’image de son personnage de Wisteria Lane, croqueuse de jeunes jardiniers ? D’après Marc Cherry, créateur des « Desperate », elle ont un autre point commun : «"J’ai embauché Eva parce qu’elle n’avait pas lu tout le script, juste ses lignes de dialogue à elle. Cet égoïsme ressemblait tellement à celui de Gabrielle Solis !" Solis, la bien-nommée, se la joue en effet solo : égocentrique, infantile, infidèle… Côté cœur, avec Tony Parker, ou TP, Eva en est à son deuxième mariage. Le premier, avec l’acteur Tyler Christopher (vu dans la série Des Jours et des vies), aura tenu de 2002 à 2004. On prête alors à l’Eve américaine une foule d’amants, dont le producteur Stephen Kay, qui sortira plus tard avec…Teri Hatcher. La coquine latine se répand sur les bienfaits des sex toys qu’elle offre à ses copines et squatte la une des magazines U.S. Avec ses voisines de Wisteria Lane, ou seule, court-vêtue, en couverture des masculins. Ses courbes font le tour du monde et les Français lui porte un intérêt d’autant plus soutenu qu’elle craque pour l’un d’eux : Tony Parker, double champion de l’association de basket américaine, la NBA. En 7 juillet 2007, elle épouse son prince charmant, de sept ans son cadet, au château de Vaux-Le Vicomte (Seine-et-Marne). Fastueux ! Attrait pour le French Lover, pense-t-on de ce côté-ci de l’Atlantique. Pas seulement. Quand elle le voit pour la première fois, en novembre 2004, TP, meneur des Spurs de San Antonio, joue à domicile, à deux heures de route de Corpus Christi (Texas), où Eva est née. En tombant dans ses bras, la junior des Desperate, exilée à Hollywood depuis ses 22 ans, s’offre un retour aux sources. Le couple se construit d’ailleurs un (gros) nid douillet de 1 000 mètres carrés à San Antonio. De son enfance modeste dans un ranch, où son père, mécano, lui apprenait à chasser et dépouiller les lièvres, elle garde un attachement profond à sa terre. En 2005, elle décrit son couple comme ambitieux, parlant d’un « plan de carrière sur 10 ans ». Mais plus que du partenariat avec la star du basket, cette détermination lui vient de sa famille d’origine mexicaine, installée au Texas, depuis des générations. "Ma mère a neuf sœurs, dit-elle. Je suis la dernière de quatre filles: j’ai grandi avec des femmes fortes." Ce qui la prédispose aussi à trouver sa place à Wisteria Lane. Lors des rumeurs de rivalité entre les actrices, Eva entretient son image de bonne copine facile à vivre, bomba sympa ! Un pari payant à Hollywood. Outre son salaire annuel de la série – 4,5 millions de dollars – elle cumule les contrats publicitaires juteux, dont 1,5 million de dollar de L’Oreal. Elle prête ses lèvres au gloss et croque, pulpeuse, des glaces Magnum. Sans oublier l’ouverture de son restau, Beso (le baiser, en espagnol) à Hollywood. Contrairement à sa consoeur Teri Hatcher, déjà star aux Etats-Unis, Eva explose grâce à Desperate. Avant, elle était une ex-call girl internée pour meurtre dans Les Feux de l’Amour. Un coup de baguette magique pour ce petit bout de femme (1,57 mètre) qui avait rêvé de mannequinat. Elle raconte même qu’enfant, son côté « noiraud » lui valait le surnom de « vilain petit canard. Parvenue au sommet, la comédienne veut jouer les bonnes fées pour ses proches. En l’honneur d’Elisabeth, sa sœur aînée trisomique, elle crée l’association Eva’s Heroes, qui aide les handicapés mentaux de 14 à 21 ans. Les sourires qu’elle y fait naître, eux, n’ont rien de tronqué. Par Laurence Casanova de Télé 7 jours
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