PHOTOS - Damages : Glenn Close nous parle de la saison 2
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Damages Saison 2
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<strong>Damages, la série judiciaire sur une avocate machiavélique de New York, revient pour une saison 2 palpitante sur Série Club dès le 12 décembre 2010 à 21h30, déjà diffusée aux abonnés de Canal+. Emmanuel Ducasse pour Télé 7 Jours est allé à la rencontre de son interprète principale, Genn Close qui livre dans ces épisodes, un brillant numéro d?engeance aux deux visages.</strong>Pour ces 13 épisodes, le feuilleton judiciaire reprend sa narration sophistiquée, alternant présent et passé. Dans une chambre d?hôtel, la jeune avocate Ellen Parsons (jouée par Rose Byrne) tire avec une arme à feu sur une personne que l?on ne voit pas. Six mois plus tôt, elle a accepté de revenir travailler auprès de son ex-mentor, Patty Hewes. Le FBI lui a demandé de piéger Patty. Ça tombe bien : Ellen veut la détruire ! A cette époque, la terreur du barreau new-yorkais entame un bras de fer contre une puissante compagnie énergétique, UNR, qui a menti sur la dangerosité d?un composant chimique. Patty en a été informée par son vieil ami, Daniel Purcell, (William Hurt), scientifique, qui a travaillé pour UNR?pagebreak<strong>Dans cette deuxième saison, vous nous faites découvrir une facette vulnérable de votre personnage, la redoutable avocate Patty Hewes. Etait-ce intéressant à jouer ?</strong>Glenn Close : Oui, c?est génial de passer d?une scène où cette brillante manipulatrice est dans le contrôle, à une autre où elle tombe le masque, surtout quand elle est avec son mari ou son fils.pagebreak<strong>Vous avez été furieuse d?apprendre que c?était Patty qui avait commandité la tentative de meurtre contre sa collaboratrice, Ellen Parsons, à la fin de la saison 1?</strong>GC :Absolument, et je n?en suis toujours pas contente ! Je me suis confrontée aux trois créateurs de la série, mais ils n?ont rien voulu changer. Je trouvais que ça allait trop loin, même si face à l?engrenage dramatique des événements, Patty panique et prend les mauvaises décisions. Il m?a donc semblé essentiel, de la montrer affectée par tout cela, en ouverture de la saison 2, sinon elle serait totalement inhumaine.pagebreak<strong>Me Hewes est diabolique. La trouvez-vous trop effrayante, parfois ?</strong>GC : Au tout début de <em>Damages</em>, elle m?intimidait. Je me suis tournée vers le coach d?acteur Harold Guskin, que je sollicite régulièrement. Il m?a fait travailler une scène et j?ai perdu ma timidité à l?égard du rôle.pagebreak<strong>Vous jouez Patty de façon minimaliste, par l?intensité du regard, un petit mouvement du visage... Pensez-vous que la subtilité du jeu, c?est de moins en faire ?</strong>GC : En effet, car c?est plus imaginatif pour les téléspectateurs. Ils y voient ce qu?ils projettent. Ce sont des moments, où l?on se demande ce que Patty pense vraiment, ce qu?elle est en train de mijoter.pagebreak<strong>Dans ces épisodes inédits, la dynamique entre Ellen et Patty est inversée : la première se comporte comme le prédateur et la seconde comme la proie? </strong>GC : Leur relation devient encore plus complexe et intense. Patty ignore le piège que prépare contre elle sa protégée avec le FBI. La saison 1 montrait les dégâts du pouvoir et de l?ambition. La saison 2 explore leurs répercussions : la vengeance et la rédemption.pagebreak<strong>Votre personnage cultive un look élégant et épuré : tailleur strict et talons aiguilles. Est-ce difficile de tourner, perchée sur des stilettos ?</strong>GC : C?est fatigant. Quand je suis assise derrière mon bureau, je ne les porte pas, par exemple. Et les scènes où Patty se relaxe les pieds en fin de journée, sont bien pratiques !pagebreak<strong>Vous amenez vos deux chiens, Jake et Bill, sur le plateau de la série. Vous jouez mieux quand ils sont à vos côtés ?</strong>GC : On peut dire ça comme ça ! Ils sont mignons et très drôles. L?équipe les aime bien. Il y en a qui reste même quand la caméra filme, car il sait se tenir tranquille.pagebreak<strong>En janvier 2009, votre étoile a été inaugurée sur le Walk of Fame, la « promenade de la gloire » à Los Angeles. Attendiez-vous cette reconnaissance ?</strong>GC : Ça m?a fait très plaisir d?avoir mon nom gravé dans la pierre, au c?ur de Hollywood, pour un bon moment. Enfin, peut-être pas pour toujours. Attention aux tremblements de terre !<strong>Interview Emmanuel Ducasse</strong>
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Damages, la série judiciaire sur une avocate machiavélique de New York, revient pour une saison 2 palpitante sur Série Club dès le 12 décembre 2010 à 21h30. Emmanuel Ducasse pour Télé 7 Jours est allé à la rencontre de son interprète principale, qui livre dans ces épisodes, un brillant numéro d’engeance aux deux visages.Pour ces 13 épisodes, le feuilleton judiciaire reprend sa narration sophistiquée, alternant présent et passé. Dans une chambre d’hôtel, la jeune avocate Ellen Parsons (jouée par Rose Byrne) tire avec une arme à feu sur une personne que l’on ne voit pas. Six mois plus tôt, elle a accepté de revenir travailler auprès de son ex-mentor, Patty Hewes. Le FBI lui a demandé de piéger Patty. Ça tombe bien : Ellen veut la détruire ! A cette époque, la terreur du barreau new-yorkais entame un bras de fer contre une puissante compagnie énergétique, UNR, qui a menti sur la dangerosité d’un composant chimique. Patty en a été informée par son vieil ami, Daniel Purcell, (William Hurt), scientifique, qui a travaillé pour UNR…Dans cette deuxième saison, vous nous faites découvrir une facette vulnérable de votre personnage, la redoutable avocate Patty Hewes. Etait-ce intéressant à jouer ?Glenn Close : Oui, c’est génial de passer d’une scène où cette brillante manipulatrice est dans le contrôle, à une autre où elle tombe le masque, surtout quand elle est avec son mari ou son fils.Vous avez été furieuse d’apprendre que c’était Patty qui avait commandité la tentative de meurtre contre sa collaboratrice, Ellen Parsons, à la fin de la saison 1…Absolument, et je n’en suis toujours pas contente ! Je me suis confrontée aux trois créateurs de la série, mais ils n’ont rien voulu changer. Je trouvais que ça allait trop loin, même si face à l’engrenage dramatique des événements, Patty panique et prend les mauvaises décisions. Il m’a donc semblé essentiel, de la montrer affectée par tout cela, en ouverture de la saison 2, sinon elle serait totalement inhumaine.Me Hewes est diabolique. La trouvez-vous trop effrayante, parfois ?Au tout début de Damages, elle m’intimidait. Je me suis tournée vers le coach d’acteur Harold Guskin, que je sollicite régulièrement. Il m’a fait travailler une scène et j’ai perdu ma timidité à l’égard du rôle.Vous jouez Patty de façon minimaliste, par l’intensité du regard, un petit mouvement du visage... Pensez-vous que la subtilité du jeu, c’est de moins en faire ?En effet, car c’est plus imaginatif pour les téléspectateurs. Ils y voient ce qu’ils projettent. Ce sont des moments, où l’on se demande ce que Patty pense vraiment, ce qu’elle est en train de mijoter.Dans ces épisodes inédits, la dynamique entre Ellen et Patty est inversée : la première se comporte comme le prédateur et la seconde comme la proie… Leur relation devient encore plus complexe et intense. Patty ignore le piège que prépare contre elle sa protégée avec le FBI. La saison 1 montrait les dégâts du pouvoir et de l’ambition. La saison 2 explore leurs répercussions : la vengeance et la rédemption.Votre personnage cultive un look élégant et épuré : tailleur strict et talons aiguilles. Est-ce difficile de tourner, perchée sur des stilettos ?C’est fatigant. Quand je suis assise derrière mon bureau, je ne les porte pas, par exemple. Et les scènes où Patty se relaxe les pieds en fin de journée, sont bien pratiques !Vous amenez vos deux chiens, Jake et Bill, sur le plateau de la série. Vous jouez mieux quand ils sont à vos côtés ?On peut dire ça comme ça ! Ils sont mignons et très drôles. L’équipe les aime bien. Il y en a qui reste même quand la caméra filme, car il sait se tenir tranquille.En janvier 2009, votre étoile a été inaugurée sur le Walk of Fame, la « promenade de la gloire » à Los Angeles. Attendiez-vous cette reconnaissance ?GC : Ça m’a fait très plaisir d’avoir mon nom gravé dans la pierre, au cœur de Hollywood, pour un bon moment. Enfin, peut-être pas pour toujours. Attention aux tremblements de terre !Interview Emmanuel Ducasse
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