Hier à l'occasion d'une belle cérémonie très glamour, s'est ouvert le 67e Festival de Cannes devant un parterre de stars internationales toutes plus sensuelles et chic les unes que les autres.En effet, entre Nicole Kidman, ravissante princesse venue présenter Grace de Monaco en ouverture ; la charmante Adèle Exarchopoulos, belle et sexy pour son retour sur les marches un an après son sacre ; nos belles actrices frenchy que sont Audrey Tautou, Laetitia Casta et Alice Taglioni ; et une torride (trop ?) Blake Lively, l'événement n'a pas manqué d'allure et d'élégance.Mais pour l'heure, place à la compétition pour les nombreux et brillants artistes sélectionnés, qui seront départagés dans une dizaine de jours par la cinéaste néo-zélandaise Jane Campion et son prestigieux jury.Et parmi les films en compétition aujourd'hui, outre Mr. Turner du cinéaste anglais Mike Leigh (Palme d'Or en 1996 pour Secrets et Mensonges) qui a pris ce matin la pose avec tout son casting, le deuxième long métrage de la journée est Timbuktu du réalisateur mauricien Abderrahmane Sissako.Et comme le veut la coutume cannoise, il a lui aussi pris la pose avec ses comédiens Ibrahim Ahmed, Toulou Kiki et Abel Jafri, avant la garnde montée des marches de ce soir.L'histoire de Timbuktu : Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, entouré de sa femme Satima, sa fille Toya et de Issan, son petit berger âgé de 12 ans. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes qui ont pris en otage leur foi. Fini la musique et les rires, les cigarettes et même le football… Les femmes sont devenues des ombres qui tentent de résister avec dignité. Des tribunaux improvisés rendent chaque jour leurs sentences absurdes et tragiques. Kidane et les siens semblent un temps épargnés par le chaos de Tombouctou. Mais leur destin bascule le jour où Kidane tue accidentellement Amadou le pêcheur qui s'en est pris à “GPS” sa vache préférée. Il doit alors faire face aux nouvelles lois de ces occupants venus d’ailleurs.Un extrait de Timbuktu :
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