Selon son ex-assistante, Leo est le meilleur patron du monde.
Alors que Jack Sutherland, ex-assistant de stars, lave son linge sale en public dans son livre-choc Stars, Voitures et Crystal Meth, le témoignage d'une autre personal assistant vient donner un son de cloche très différent.
Quand un ex assistant de stars balance sur ses patrons : drogue, prostitués, les dessous du métier
Loin du cauchemar et des humiliations permanentes racontées dans le livre à paraître le 17 mars prochain, Kasi Brown a vécu une relation professionnelle idyllique avec Leonardo DiCaprio. Dans une interview au Huffington Post, l'ex-assistante désormais réalisatrice est revenue sur les mois passés aux côtés de la superstar, pour qui elle a travaillé sur le tournage de Aviator en 2003.
"Il a vraiment les pieds sur terre et il aime partager des histoires et des expériences vécues avec les gens", a confié Kasi Brown, qui décrit Leonardo DiCaprio comme une personne "très intelligente", qui connaît des choses en "politique, en pop culture, en histoire, dans tous les domaines", et qui passait son rare temps libre à discuter avec tous les membres du tournage, techniciens, figurants et extras y compris. Un patron simple et accessible, mais aussi généreux, puisqu'il a offert à Kasi Brown un cadeau à la fin du tournage, tout comme Martin Scorsese.
"Leo et moi, on s'amusait tout le temps sur le plateau. On adorait observer les gens autour de nous, et on s'éclatait à imiter des personnages, ou bien à parler avec des accents différents", s'est souvenue celle dont une des missions consistait à tenir une ombrelle pour dissimuler le visage de son client aux paparazzis lorsqu'il se trouvait à l'extérieur de sa loge.
Kasi Brown insiste sur le fait que l'acteur (enfin) oscarisé grâce à The Revenant n'a pas la grosse tête et qu'il aime par dessus tout se sentir comme tout le monde : "Il m'a dit que Halloween était sa fête préférée et quand je lui ai demandé pourquoi, son visage est devenu sérieux et il m'a dit qu'il aimait cet anonymat. Il trouvait ça agréable de pouvoir se promener parmi les gens et interagir avec eux sans être reconnu. D'être comme n'importe qui, sans qu'on attende rien de lui."
Plus d'une décennie après la fin du tournage, Kasi Brown est encore en contact avec son ex-patron, qui lui a donné des conseils pour la réalisation de son premier long-métrage, Gone Doggy Gone, sorti en 2015 aux Etats-Unis.
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