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Célibataire de 40 ans, Irene descend dans des hôtels de luxe. Elle est « invitée surprise » : elle juge en effet la qualité du service prodigué dans les cinq étoiles de la planète. Cette tranche de vie est aussi un singulier portrait de femme indépendante et originale, qui croit un instant (pression de l’entourage, angoisse de l’âge...) que la solitude est un vilain défaut. Aussi rugueux que le personnage est obsessionnel, le récit déjoue les pièges et garde son cap. Margherita Buy (Habemus papam) porte le film sur ses belles épaules.
Toutes les critiques de Je Voyage Seule
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Oui, le célibat peut être un choix et non une malédiction. C’est ce que raconte avec malice cette comédie grave, baignée d’une douce lumière, dans des décors de rêve.
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Irene, cette célibataire originale, est remarquablement incarnée par la belle actrice Margherita Buy, qu’on avait vue dans « Habemus Papam ». Elle est pour beaucoup dans l’itinéraire et le portrait passionnant de cette femme indépendante et des renoncements que cela implique.
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Un film sur les femmes seules, à travers un personnage qui les représente bien, et qui offre en prime l’avantage de voyager avec elle un peu partout.
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Chronique d'un célibat : sans homme et sans enfants, une belle quadra italienne voyage pour son travail d'un hôtel de luxe à l'autre. Un film délicat sur la liberté d'être, et de choisir sa vie.
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Célibat ne rime pas toujours avec désarroi...
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Le film puise sa force dans cette intransigeance, tout autant qu’il y trouve sa limite.
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un film séduisant et solide par sa mise en scène. Dommage que le scénario tourne un petit peu en rond.
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Malgré sa forme lisse et son trait parfois épais, un joli portrait de femme, campée par Margherita Buy.
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Hommes, femmes... Peu importe ! Je voyage seule est à voir par tout les styles de spectateurs car chacun y trouvera forcément son compte.
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Une fois énoncé le curriculum professionnel d’Irene, Maria Sole Tognazzi, la réalisatrice, présente son ex, sa sœur, (...) Et puis, plus rien. On voit bien les lignes que voudrait dessiner le scénario (...) Un peu comme si, en lisant un mensuel sur papier glacé, le test psycho s’était mélangé avec le publireportage pour une chaîne hôtelière.