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Pour ce remake du film de 1977 de Claude Berri avec Jean-Pierre Marielle, il adopte même un ton léger, offrant ainsi de jolis numéros d’acteurs à Vincent Cassel, fuyant et penaud, et à François Cluzet, naïf et colérique.
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Marielle, 48 ans sur le tournage d’Un moment d’égarement, donnait de sa voix chaleureuse et de ses manières enveloppantes. Cassel, 45 ans, se la joue moins paternel en apportant une dimension plus animale au rôle.
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Un bon script, un beau casting, une mise en scène en phase : bonnes vacances !
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Cassel et Cluzet offrent deux épatants numéros complémentaires de ce remake du film de Claude Berri (1977), toujours habilement sur le fil.
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On est, cette fois, franchement dans la comédie, la farce même, et les deux stars jouent le jeu avec talent, excès compris.
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Dans la filmographie de cinéaste de genre de Jean-François Richet, on souhaite effectivement que ce passage à vide ne soit qu’un petit moment d’égarement...
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Une comédie dramatique embourgeoisée où chacun reste sagement soumis à son stéréotype.
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Si François Cluzet en fait des tonnes, Vincent Cassel, impeccable, tire son épingle du jeu, de même que l’actrice qui incarne sa fille, Alice Izaac.
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Difficile avec ce gros souci d’interprétation de croire à la moindre situation. Et les dialogues en carton n’arrangent rien. Rien ne convainc.