Toutes les critiques de Sonate pour Roos

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    La sonate n’est pas d’automne mais la parenté -établie par le titre français- avec le cinéma d’Ingmar Bergman est bien réelle : où il est question d’incommunicabilité entre une mère et sa fille aînée. De passage en Norvège, où la mère et le fils cadet habitent (ils sont hollandais), Roos va devoir surmonter les silences pour enfin se libérer. Bergmanien certes, mais surtout prévisible et ampoulé. Le réalisateur sait faire de belles images (un tunnel de stalactites musicales...) qui font moins sens que décoration.