Toutes les critiques de Sibérie, monamour

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Sporadiquement nous parviennent de Russie des films désespérants qui montrent un pays en proie à la déliquescence morale et économique. En plantant sa caméra dans un trou de Sibérie, Slava Ross, c'est sûr, n'entendant pas tourner une comédie. Sans Sibérie, Monamour, le danger vient e partout, aussi bien des prédateurs et de la nature hostile des gens "honorables".

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Christophe Chadefaud

    Un combat pour une humanité perdue. Rude et brillant

  2. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Une aventure qui conjugue la violence et l'humanité, le désespoir et l'espoir russes.

  3. Télérama
    par Jacques Morice

    Que le cinéaste parvient à surpasser en créant, à partir de cette nature sauvage et des personnages romanesques, un chant d’amour tourmenté à la Sibérie.

  4. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Voilà un film qui satisfera – si parfaitement qu'on pourrait y soupçonner l'effet d'une complaisance - les amateurs de l'âme slave. Au programme : souffrance sans fond, ignominie sans nom, ivresse sans limitation, et désir d'expiation à l'horizon.

  5. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Monamour est le nom d’un hameau abandonné au fond de la taïga sibérienne, dans lequel un enfant et son grand-père se recroquevillent, cernés par les loups. Film d’aventures ? Pas seulement. En suivant une meute d’individus errer plus bas dans la forêt, Slava Ross enregistre une Russie en pleine déliquescence : des militaires pètent les plombs dans un village, une famille se déchire, la vodka, la misère et le spleen coulent à torrents.