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Triple challenge pour Niko, le petit renne volant qui rêvait de travailler pour le Père Noël : surmonter le divorce de ses parents, accepter le nouveau copain de sa mère et délivrer son très collant demi-frère des griffes d’une bande de vautours frustrés. Reflet d’une réalité complexe qu’il convient d’expliquer aux tout-petits, l’intrigue familiale recèle presque autant de suspense que les périlleuses aventures de ce héros très actuel. Quant au graphisme, il est à la fois simple et charmant. Un très joli mode d’emploi pour familles recomposées.
Toutes les critiques de Niko le petit renne 2
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Si l’animation est encore un peu figée, ce sequel s’avère plus ambitieux et réussi que le premier épisode. Et remplit gentiment son cahier des charges : distraire, émouvoir et émerveiller grâce à quelques séquences de pirouettes aériennes réussies.
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Pleine de suspense et bourrée de gags, cette jolie fable pourvue d’un graphisme spectaculaire ne se contente pas d’être joyeuse : elle éveille les plus petits aux thèmes de la séparation et de la famille recomposée, le tout dans une ambiance de Noël qui fera la joie des très jeunes spectateurs.
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On pourrait sans doute regretter que cette réussite européenne soit si manifestement alignée sur l'esprit Disney de l'époque classique, au lieu d'offrir une réelle alternative esthétique. Mais il n'y a aucune raison de bouder son plaisir devant ce dessin animé un rien désuet, doté des meilleures intentions morales, plaisant à voir, et à l'occasion suffisamment drôle pour séduire petits et grands.
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A la fin de ce film d'animation trépidant, signé Kari Juusonen, les dizaine d'écoliers invités à la projection de presse ont ovationné Niko.
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Un film espiègle et aventureux, dès 3 ans.
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De l'action, du suspense, un bel équilibre entre l'humour et juste ce qu'il faut de drame sur fond de vengeance et de rédemption.
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Les réalisateurs appliquent le tarif syndical de l'animation pour enfants, et pâtissent au passage de la comparaison avec le tout-venant des productions Pixar ou DreamWorks.
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Retour de Niko le renne volant, plutôt mignon, et de son pote l'écureuil, ventru et bougon. Déception ! Le premier épisode était un bijou d'animation. Ici, les courses-poursuites aériennes ne font jamais décoller le film. Et la méchante louve manque cruellement de mordant.