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Nommé Icare (métaphore de son rêve d’envol, donc d’oubli), le jeune héros possède un cerf-volant sur lequel est dessiné d’un côté son père et de l’autre une poule, parce que ce géniteur absent "aimait les poules". Cette belle idée illustre à merveille les enjeux d’un film qui traite de la pire des choses, l’abandon, avec toujours à l’esprit un souci de dédramatisation – pas de musique sursignifiante non plus – qui le prévient de tout misérabilisme.
Christophe Narbonne
Toutes les critiques de Ma vie de Courgette
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le scénario de Céline Sciamma et la mise en scène inspirée de Claude Barras se rencontrent au carrefour d’une sincérité brute, essentielle, qui trouve son écrin dans un subtil sens de la concision et de l’épure.
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On pleure, on rit, on pleure, on rit et on ressort complètement bouleversé de cette petite heure de prouesses techniques.
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La musique de Sophie Hunger parfait cet alliage de réalisme et de rêverie.