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Cette sensation de pénétrer dans le nouveau film complètement largué de Thomas Vincent joue beaucoup dans le plaisir que l'on prend à le voir. Ça commence en respirations naturalistes et en silences assourdissants. Soit Raoul et Diane sont prisonniers de leur délire paranoïaque et Le nouveau protocole accompagne la disparition progressive de deux âmes brisées en marge de la société; soit ils ont flairé le complot et Thomas Vincent mène une course-poursuite anxiogène qui ne démérite pas face à The Constant Gardener. Le film se garde de choisir, préférant plonger le spectateur dans l'état de fièvre et de paranoïa de ses personnages.
Toutes les critiques de Le Nouveau Protocole
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Après avoir incarné le Gaulois le plus célèbre du monde, Clovis nous revient dans Le nouveau protocole, un thriller politique signé Thomas Vincent. L'acteur y interprète un homme brisé par la mort de son fils.
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On entre très vite dans ce thriller signé Eric Besnard qui surfe sur des histoires vraies de manœuvres suspectes dans l'industrie pharmaceutique, sans aller cependant aussi loin que The constant gardener. On voit beaucoup (trop?) Clovis Cornillac ces derniers temps, mais lorsque ses rôles ont cette épaisseur-là, personne n'y trouve à redire.
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Après Je suis un assassin, Thomas Vincent signe un thriller d'action au rythme effréné avec Clovis Cornillac, stupéfiant de présence animale.
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Un film si raté qu'il en devient sympathique avec, au scénario, un père bûcheron qui perd son fils à la suite d'un accident suspect (...).
