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Trois personnages – une étudiante basculant dans la prostitution, un trader en pleine ultra- moderne solitude et un dealer qui commence à faire ses gammes – aux destins mêlés avec en commun un lien avec l’argent qui va les conduire à leur perte. Il y a du Déjà mort de Dahan dans la manière dont Lanzmann tente d’embrasser son époque. Et si son scénario tourne en rond, l’atmosphère créée par le beau travail de la lumière de Pascal Lagriffoul, le chef op’ de Jérôme Bonnell et une BO démente maintient le film à flot.