Synopsis
"Comédie nazie" de Taika Waititi (Vampires en toute intimité, Hunt for the Wilderpeople, Thor : Ragnarok...).
Date de sortie | 29 janvier 2020 |
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Durée | 108 mn |
Réalisé par | Taika Waititi |
Avec | Roman Griffin Davis , Thomasin McKenzie , Taika Waititi |
Scénariste(s) | Taika Waititi |
Distributeur | TWENTIETH CENTURY FOX FRANCE |
Année de production | 2019 |
Pays de production | Etats-Unis |
Genre | Comédie dramatique |
Couleur | Couleur |
"Comédie nazie" de Taika Waititi (Vampires en toute intimité, Hunt for the Wilderpeople, Thor : Ragnarok...).
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Il a reçu la statuette du meilleur scénario adapté pour Jojo Rabbit.
Six nouveautés intègrent le top 10. (Source : Le Film Français)
Jojo Rabbit : "C’était l’un des dîners les plus bizarres de ma vie"
Jojo Rabbit : "J'en reviens pas de travailler avec Scarlett Witch des films Scavangers ! Là, je lui apprends comment utiliser le bouclier en mini biscuit de Captain Merika pour se défendre face à une attaque de mini-nazi. #jojorabbit #FiniteWar"
Jojo Rabbit, affiche
Jojo Rabbit, affiche
Roman Griffin Davis (Jojo Betzler), Taika Waititi (Adolf Hitler), Scarlett Johansson (Rosie Betzler)
Roman Griffin Davis (Jojo Betzler), Taika Waititi (Adolf Hitler)
Taika Waititi (Adolf Hitler)
Thomasin McKenzie (Elsa Korr), Roman Griffin Davis (Jojo Betzler)
Thomasin McKenzie (Elsa Korr), Roman Griffin Davis (Jojo Betzler)
Taika Waititi (Adolf Hitler), Roman Griffin Davis (Jojo Betzler), personnages
Roman Griffin Davis (Jojo Betzler), Scarlett Johansson (Rosie Betzler), Taika Waititi (Adolf Hitler)
Thomasin McKenzie (Elsa Korr)
Sam Rockwell (le capitaine Klenzendorf), Scarlett Johansson (Rosie Betzler), Roman Griffin Davis (Jojo Betzler)
Au fond, on est tous pareils : on aime bien se moquer des nazis. Lorsque Jojo Rabbit fait des blagues de nazis, aucun problème, on marche à fond. Toute l’ouverture de Jojo Rabbit fait justement de très bonnes blagues de nazis. Nous sommes dans un camp d’entraînement de la jeunesse allemande en 1945, mené par Sam Rockwell (évidemment brillant en vétéran du front russe), Alfie Allen (hilarant en sous-fifre veule) et Rebel Wilson (démente en mère pondeuse du Reich). Jojo, un petit gamin qui parle avec Hitler dans sa tête (joué par le réalisateur Taika Waititi), est traité de peureux par ses camarades, se réfugie chez lui, et tombe sur une jeune fille juive cachée par la mère du garçon. Et Jojo Rabbit de se transformer en tragicomédie, qui veut vous faire rire et pleurer, en démontrant par l’absurde l’inanité de l’idéologie nazie via les yeux d’un gamin qui apprend à se défaire de son lavage de cerveau. Ambitieux programme. On ne pouvait pas rester sur les blagues ? Il faut une prudence totale et de réelles compétences d’équilibriste pour accomplir un tel exploit. C’est triste à dire, mais Jojo Rabbit, alternant facilités et banalités, fonce vers le mélo et se repose trop sur son high concept (« Hitler est mon ami imaginaire rigolo et flippant ») pour dire quoi que ce soit d’intéressant, ou de drôle. Taika Waititi était plus inspiré avec son brillant Boy où il racontait son enfance fantasmée en Nouvelle-Zélande et où il incarnait, sur la même ligne tragicomique, son père fantasque et chaplinesque. C’est dommage. On aime tellement se moquer des nazis.