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Si le film semble peiner à établir le climat politico-religieux du Second Empire, c'est que Jean Sagols cherche surtout à brosser le portrait de Bernadette Soubirous et il le fait avec habileté, tout en nuances.
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(...) le résultat tient ici du téléfilm sans éclat, qu'une brochette d'acteurs épatants ne parvient pas à réanimer.
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Si le scénario veut montrer la solide personnalité de Bernadette et ancrer son histoire dans la réalité de l'époque, la fadeur de la mise en scène contredit malheureusement ce parti pris.
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le miracle c'est d'arriver à la fin du film