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Romain continue de chercher sa place entre un frère aîné pince-sans-rire et des parents divorcés. Lorsqu’on diagnostique à son père une démence sénile, les choses ne s’arrangent pas... Ce pourrait être une comédie de trentenaires mais, sur le fond, c’est un drame, comme sur la forme, malgré une voix off qui s’évertue à égayer tout ça. Le film ne trouve hélas pas sa voie, à l’image d’un casting alléchant (Eddy Mitchell et Chantal Lauby côté géniteurs, Pio Marmaï et Jérémie Elkaïm côté frangins) qui reste aussi théorique qu’hétéroclite.
Toutes les critiques de Grand Départ
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec pareil sujet, le réalisateur aurait pu jouer la carte du drame pesant. Il a préféré en abattre une plus légère, tendant vers la comédie. Pari risqué, mais le cinéaste s’en sort plutôt pas mal. Il a eu l’intelligence de s’appuyer sur des dialogues vifs et frais qui offrent un vrai rythme au film.
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Cette dramédie à l’humour enlevé sait aussi dire beaucoup de choses sur le rapport au père, au frère. Tout en donnant aux comédiens l’occasion de composer des partitions toutes en nuances.
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Fourmillant d'idées belles et moins belles, ce premier film bien interprété manque de forme et de mesure, mais garde une belle justesse dans le drame familial.
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Nicolas Mercier, qui signe son premier long-métrage à la réalisation, reste fidèle à la causticité qui fait la marque de ses scénarios et rend à la maladie les ressorts de tendresse et de drôlerie qu’elle recèle parfois (pour ceux qu’elle atteint comme pour ceux qui y assistent impuissants). Si la mise en scène est un peu modeuse, l’interprétation et la finesse du propos l’emportent.
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Grand Départ creuse les hauts et les bas des relations familiales. Tout le monde à sa place. Le duo Marmaï-Elkaïm fonctionne.
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On regrettera sans doute que la mise en scène ne soit pas complétement aboutie, mais l'idée et le casting en font un joli film de rentrée.
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Premier long du scénariste de la pétillante "Clara Sheller" (la série), cette comédie familiale douce-amère vaut le détour pour ses dialogues mordants et le tandem Jérémie Elkaïm-Pio Marmaï. On est beaucoup plus réservé sur la fin, bêtement convenue.
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Eddy Mitchell, à l'ouest, Jérémie Elkaïm et Pio Marmaï jouent avec sensibilité cette partition douce-amère sur une famille qui part en vrille.
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Sur un thème déjà fertile, Nicolas Mercier ne parvient pas à trouver le ton juste et délivre une histoire fade, qui ne s'en tire que grâce à un casting judicieux.
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Un scénario cousu de fil blanc et des personnages trop caricaturaux pour susciter de l'empathie. Dommage de rester à la surface des choses.
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En dépit d’un beau casting, rien de très excitant dans ce scénario en partie autobiographique qui ne décolle jamais.
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Un premier long-métrage plein de bonnes intentions, mais surtout de maladresses, qui ne cesse de se chercher sans jamais vraiment se trouver.
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Raté. Personnages et intrigue sont cousus de fil blanc. C'en est rageant.