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À la mort de son père, Rebeca prend la crise espagnole de plein fouet. Pour s’en sortir, elle compte alors sur des enregistrements secrets réalisés par ce dernier… La spéculation immobilière et ses conséquences servent de toile de fond à ce portrait de femme conçu comme un survival économique, avec étapes dégradantes auxquelles on fait face comme on peut. Rebeca ne peut plus payer son loyer et prend des décisions de moins en moins glorieuses. Pire que la prison, le déclassement social sème les germes de la détestation de soi et tue à petit feu, malgré l’amour – échappatoire ou pas. L’héroïne, d’une beauté à couper le souffle, détourne un peu l’attention, mais le constat est là, implacable.
Toutes les critiques de D'Amour et de Dettes
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Autant "On verra demain" (2008) était tenu et captivant, autant son nouveau film, malgré l’ambition de son sujet, semble confus, tâtonnant, affaibli par d’incompréhensibles maladresses.
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Fade fiction sur la peur du déclassement dans une Espagne en pleine crise économique, signée Francisco Avizanda.
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Le film se prend au sérieux sans en avoir du tout l'étoffe. Complètement à côté de la plaque.