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Le réalisateur, déjà responsable d'une vie de Bach assez stupéfiante, laisse les acteurs expérimentés en liberté (on voit aussi Michel Galabru en pape) si bien qu'ils retournent à l'état sauvage, et ne sait que faire des autres. On sent ici le même enthousiasme et la même incompétence que celles que mettait Ed Wood à évoquer les soucoupes volantes et les mutants, il y a cinquante ans, à Hollywood.
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- Antonio Vivaldi, Un Prince À Venise
Antonio Vivaldi, Un Prince À Venise
Pressse
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