PHOTOS - Ces animateurs qui se sont rêvés acteur de cinéma

PHOTOS - Ces animateurs qui se sont rêvés acteur de cinéma

William Leymergie

Le visage emblématique de Télématin sur France 2 ajoué dans de nombreux films de Claude Lelouch. On l'a vu dans Les Misérables en 1995, Hommes, femmes : mode d'emploi en 1996, Le courage d'aimer en 2005 et Roman de Gare  en 2006. ?

Patrice Laffont

L'ex animateur de <em>Pyramides </em>et Fort Boyard connaît une belle petite carrière cinématographique, notamment dans les années 60. On a ainsi pu le voir en 1962 dans Le Soupirant de Pierre Etaix, en 1963 dans Les Vierges de Jean-Pierre Mocky , en 1964 dans le mythique Le gendarme de Saint-Tropez de Jean Girault , en 1965 dans La Tête du client de Jacques Poitrenaud. et en 1996 dans Beaumarchais, l'insolent d'Edouard Molinaro. ?

Ces animateurs qui se sont rêvés acteur de cinéma

Ils cartonnent comme animateurs télé, mais prennent le risque d'une (ou plusieurs) expérience(s) sur grand écran. C'est le cas de Stéphane Bern qui à l'affiche aujourd"hui du film Celles qui aimaient Richard Wagner réalisé par Jean-Louis Guillermou. Si certains ont fait une apparition remarquée, mais pas remarquable sur grand écran, d'autres, comme Virginie Efira ou José Garcia, en ont fait leur métier, abandonnant ainsi le petit écran pour se consacrer au 7ème art. Pour d'autres, leur passage au cinéma a été synonyme d'échec et pire, de moqueries. On se souvient des critiques assassines envers le film Le Baltringue, dans lequel Lagaf' tient le rôle principal.  ?

Ils cartonnent comme animateurs télé, mais prennent le risque d'une (ou plusieurs) expérience(s) sur grand écran. C'est le cas de Stéphane Bern qui à l'affiche aujourd"hui du film Celles qui aimaient Richard Wagner réalisé par Jean-Louis Guillermou.Si certains ont fait une apparition remarquée, mais pas remarquable sur grand écran, d'autres, comme Virginie Efira ou José Garcia, en ont fait leur métier, abandonnant ainsi le petit écran pour se consacrer au 7ème art.Pour d'autres, leur passage au cinéma a été synonyme d'échec et pire, de moqueries. On se souvient des critiques assassines envers le film Le Baltringue, dans lequel Lagaf' tient le rôle principal.