En 1984, Valérie Kaprisky émoustillait Bernard Giraudeau et la France entière dans L'Année des Méduses, hymne sulfureux au bronzage topless à St Tropez.Trente ans plus tard, l'actrice qu'on regrette de voir si peu sur nos écrans mais qui certifie "ne jamais avoir arrêté de tourner, en France ou ailleurs" s'est confiée au magazine Gala. Pour l'hebdomadaire people et glamour, la comédienne aujourd'hui âgée de 52 ans évoque son image de sex-symbol, dont elle dit avoir souffert, ses fêlures et l'amour.L'actrice, qui confie avoir été complexée par sa plastique callipyge, qu'elle a paradoxalement dénudée plus que de raison à l'écran, revient sur son image ultra-sensuelle non-assumée : "On me croyait femme fatale, j'étais une femme enfant".A propos d'enfants, Valérie Kaprisky, qui se dit "très pudique", murmure : "Je ne pouvais pas en faire, j'ai laissé tomber. Je suis belle-mère, et ça me va. Je m'implique".L'actrice a trouvé l'amour et la lumière des projecteurs puisqu'on la retrouvera à la télévision en janvier 2015 dans le feuilleton populaire R.I.S , Police Scientifique.
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