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Giorgio Colangeli , Aureliano Amadei , Carolina Crescentini , Vinicio Marchioni
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PHOTOS - Venise 2010 : Sofia Coppola, Catherine Deneuve, John Woo : le best of du week-end

Ont présenté A woman

Il a reçu un Lion d'Or pour l'ensemble de sa carrière

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Et Sofia Coppola sur le tapis rouge

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Carolina Crescentini, l'actrice principale de 20 sigarette

Autre événement : Potiche

Présente Somewhere (ici avec Thomas Mars)

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Judith Godrèche

Etait elle aussi à Venise

Elle est soutenue par son frère, Roman Coppola

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Ici avec Giorgio Colangeli et Vinicio Marchioni

Et Léa Seydoux, venue les soutenir sur le tapis rouge

John Turturro défendait son film Passione

Le réalisateur de Volte Face et Mission Impossible

En a profité pour présenter Reign of assassins

John Woo est aux anges

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Egalement sur le tapis rouge : Elisa Sednaoui

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Et par son actrice principale, Elle Fanning

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Il était accompagné par Michelle Yeoh

Et Quentin Tarantino était toujours président du jury

De François Ozon, ici avec Catherine Deneuve et Judith Godreche

Michelle Williams a défendu Meek's Cutoff

67ème Mostra de Venise : best of du week-end

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Willem Dafoe et Stefania Rocca

Paz Vega a attiré les photographes

Le couple du film : Catherine Deneuve et Fabrice Luchini

Le même soir, John Woo était à l'honneur

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de <strong>Sofia Coppola</strong>, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : <strong>Stephen Dorff</strong> et <strong>Elle Fanning</strong>. Lors de la même soirée, <strong>John Woo</strong> s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de <strong>François Ozon</strong>, était lui aussi projeté au public. <strong>Fabrice Luchini</strong>, <strong>Catherine Deneuve</strong> et <strong>Judith Godrèche</strong> étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre <strong>Nicolas Sarkozy</strong> et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant <em>"qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme"</em>. De son côté, <strong>Fabrice Luchini</strong> a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, <strong>Silvio Berlusconi</strong>, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de <strong>Kelly Reichardt</strong> et porté par <strong>Michelle Williams</strong>, présente, <strong>sur fond de western</strong>, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.<strong>Voir le dossier spécial Venise 2010</strong><strong>Voir la bande-annonce de Potiche</strong>

Depuis vendredi, de nombreux films ont crée l'événement à la Mostra de Venise. A commencer par Somewhere, de Sofia Coppola, présenté en compétition officielle vendredi soir, en compagnie des deux acteurs principaux : Stephen Dorff et Elle Fanning. Lors de la même soirée, John Woo s'est vu remettre un Lion d'Or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense méritée pour le réalisateur de The Killer ou encore Volte Face, plus grand public, qui a également présenté Reign of Assassins, qu'il a produit et co-réalisé avec Su Chao-Pin.Le lendemain, Potiche, de François Ozon, était lui aussi projeté au public. Fabrice Luchini, Catherine Deneuve et Judith Godrèche étaient présents pour présenter ce film dont l'intrigue, située dans les années 70, suit le quotidien de de Suzanne Pujol, alias Potiche, une femme déconsidérée par son mari, qui va, par une suite de quiproquos, se retrouver à la tête de l'usine de ce dernier, et la diriger avec brio, faisant ainsi oublier son étiquette péjorative. Le réalisateur a profité de la conférence de presse pour lancer quelques piques contre le gouvernement actuel, déclarant que l'idée d'adapter cette pièce à succès lui est venue en regardant les faces à faces entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal lors des dernières élections présidentielles, jugeant "qu'il y a avait une nouvelle ère de machisme". De son côté, Fabrice Luchini a enfoncé le clou, en faisant référence au dirigeant italien, Silvio Berlusconi, pour appuyer les propos de François Ozon. Une boutade qui a fortement amusé les journalistes italiens et qui a rappelé que le film, seule comédie de la sélection officielle, était aussi une critique politique et féministe, parsemé de répliques grinçantes.Autre film remarqué ce week-end, Meek's Cutoff, de Kelly Reichardt et porté par Michelle Williams, présente, sur fond de western, des réflexions tout à fait contemporaines sur le pouvoir et sa remise en cause. Là aussi, le fond est bien plus politisé que la forme, et l'ensemble a épaté les critiques.Retour sur les plus belles images des différents tapis rouges vénitiens du week-end.Voir le dossier spécial Venise 2010Voir la bande-annonce de Potiche