Nuit blanche (en DVD le 20 mars chez Bac Vidéo) l?a confirmé : <strong>Tomer Sisley</strong> est l?un des <em>action heroes </em>les plus crédibles du cinéma français. C?est aussi un cinéphile fou avec un penchant pour les films cérébraux et engagés des années 70. Christophe Narbonne
« Commençons par le <em>number one </em>! C?est un film tellement complet que j?ai l?impression de découvrir quelque chose à chaque vision. La dernière fois, par exemple, je me suis fait la réflexion que c?était une bande-dessinée : dans la composition des plans, dans la manière de raconter l?histoire... Certaines images m?ont marqué à vie, comme celle de ce violoniste pleurant parce que sa musique couvre les cris de Tuco <em>(</em><strong>Eli Wallach</strong><em>)</em>, en train de se faire tabasser à mort. » ?
« Si vous faites un peu attention, vous serez frappés par la longueur des plans et vous vous demanderez pourquoi vous ne vous faites pas chier ! <strong><strong>Jerry Schatzberg</strong></strong> est le genre à faire dérouler des bobines entières, sans cut... Prenez cette séquence où <strong>Al Pacino</strong> entre dans un café au bord de la route : la caméra et les acteurs ne bougent quasiment pas, tout passe par le dialogue et c?est génial. Fait amusant : <strong>Gene Hackman</strong> et Pacino, sur qui repose le film, se détestaient cordialement. » ?
Nuit blanche (en DVD le 20 mars chez Bac Vidéo) l’a confirmé : Tomer Sisley est l’un des action heroes les plus crédibles du cinéma français. C’est aussi un cinéphile fou avec un penchant pour les films cérébraux et engagés des années 70.Christophe Narbonne
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