Conan le barbare (1982)
20th Century Fox

Dans ses mémoires récemment publiées, l’acteur écrit que John Milius “lui a fait faire de terribles choses” pendant le tournage.

On ne présente plus Arnold Schwarzenegger, bodybuilder, star de cinéma et gouverneur de Californie. L’acteur vient de publier ses mémoires Be Useful : Seven Tools for Life (via Insider), où il revient sur ses rôles mythiques comme celui de Conan le Barbare

Parmi les chose extrêmes que John Milius l’a forcé à faire, Schwarzy raconte : “J’ai rampé sur des rochers, prise après prise, jusqu’à ce que mes avants-bras saignent. J’ai fui des chiens sauvages qui ont réussi à m’attraper et à m'entraîner dans un buisson épineux.” Mais le pire reste l’anecdote du vautour : “J’ai mordu un vrai vautour mort et je lavais ma bouche à l’alcool après chaque prise. (la PETA [Pour une Éthique du Traitement des Animaux] s’en donnerait à coeur joie avec celle-là)”, ironise-t-il.


En plus d’une blessure “qui a nécessité quarante points de suture” dès le premier jour de tournage, Schwarzy s’est également dédié à un entraînement titanesque pour le film, qu’il résume en écrivant : “Je suis allé dans une autre forme d’école, celle-ci pour les héros d’action en herbe.” Il décrit cette préparation : “J’ai appris à monter à cheval, sur des chameaux et sur des éléphants. J’ai appris à sauter sur des gros rochers, à grimper et à me balancer sur des cordes et à chuter de haut.

Conan le Barbare n’est pas le seul film sur lequel un entraînement de taille était requis. Pour Terminator, la star a répété ses scènes de gunfights avec un bandeau sur les yeux pour travailler sa manière robotique de tirer : “je devenais une machine : je me bandais les yeux jusqu’à ce que je puisse faire toutes mes cascades avec des armes à feu les yeux fermés, et j’ai tiré tellement de chargeurs que je ne clignais même plus des paupières.

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