Qu'ils soient sortis en salles ou en streaming, voici nos films préférés de cette année ciné une nouvelle fois très spéciale. Et vous ? Quel est votre top 10 ?
10. THE FATHER de Florian Zeller
Zeller signe un premier long halluciné. Un grand film sensoriel qui plonge aux frontières du rêve et de la réalité. Anthony Hopkins y est brillant.
Lire la critique complète de The Father9. FRANCE de Bruno Dumont
Dumont fait le portrait cruel de son époque et d’une journaliste avide de célébrité. Léa Seydoux impressionne dans ce jeu de massacre.
Lire la critique complète de France8. DUNE de Denis Villeneuve
OK, c’est un long prologue. C’est froid. Mais Villeneuve reste le seul à savoir faire ces blockbusters monumentaux avec grandeur et minutie.
Lire la critique complète de Dune7. DRIVE MY CAR de Ryusuke Hamaguchi
Dans un road-movie existentiel, la relation entre un metteur en scène et sa conductrice. 3 h de dialogue, de maîtrise. De grâce pure.
Lire la critique complète de Drive My Car6. LE PEUPLE LOUP de Tomm Moore, Ross Stewart
Un trip écolo folk, une fable celtique intemporelle et une splendeur visuelle. Loin devant Disney ou Pixar : un sommet d’émotion artistique
Lire la critique complète du Peuple Loup5. THE NEST de Sean Durkin
Le film le plus chic de l’année. Une plongée étouffante dans les secrets d’une famille au bord de l’explosion avec une Carrie Coon fabuleuse.
Lire la critique complète de The Nest4. JULIE (EN 12 CHAPITRES) de Joachim Trier
Trier retourne à Oslo et à ses obsessions sentimentales. Il signe le portrait poétique, drôle, amer d’une jeune trentenaire et de sa génération.
Lire la critique complète de Julie (en 12 chapitres)3. FIRST COW de Kelly Reichardt
Dans un voyage immobile en Oregon, Reichardt revisite les mythes fondateurs des US et les codes du western. Le ciné indé américain bouge encore.
Lire la critique complète de First Cow2. LA MAIN DE DIEU de Paolo Sorrentino
Moins de musique, moins de frime – bon, il reste quand même ses madones fabuleuses. Un grand film autobio, mais surtout la déconstruction de tout ce qui faisait son cinéma. On avait titré notre dossier Sorrentino unplugged. Le roi est nu, mais il est toujours au top.
Lire la critique complète de La Main de Dieu1. WEST SIDE STORY de Steven Spielberg
Vu trop tard et à peine eu le temps d’en parler dans le magazine. Ce fut ce qu’on appelle une claque surprise. Les bandes-annonces laissaient penser que Spielberg s’était juste payé un remake de son film-madeleine. On craignait un nouveau trip Psycho, un film-caprice vide de sens. On a pris en plein visage sa maestria visuelle, sa noirceur sans équivoque, sa reconfiguration de l’original. Et surtout, une fois de plus, le cinéaste a su résumer son époque en 2h40. L’obsession du musical, #MeToo, la haine entre communautés… tout est là. Ré- et dés-enchanté.
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