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Comment transformer 1h30 de filles en bikini qui se mettent des coups de latte en purgatoire cinématographique? Demandez à Corey Yuen, dont le DOA: Dead or Alive, adaption du jeu vidéo éponyme, ferait passer le Street Fighter de Van Damme pour du Kurosawa.
Toutes les critiques de Dead Or Alive
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le scénario est loin d’être signé Balzac, mais les filles ont un corps de rêve et savent s’en servir pour cogner, séduire ou s’envoler dans les airs. (...) Ce produit bon marché est un conglomérat peu orthodoxe : il est réalisé par un Hongkongais, produit par des Américains, tourné en Chine et réunit un casting improbable – une muse de Lagerfeld (Devon Aoki), une chanteuse australienne (Holly Valance) et des vedettes télévisuelles des quatre coins de la planète. Si l’on ajoute qu’il propose parachutisme, catch, taekwondo et volley-ball, on aura une petite idée du plaisir à la fois dépaysant et sportif qu’il dispense.
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Face aux héroïnes survoltées en costume sexy, une belle collection de mâles bodybuildés s'anime dans les maginifiques décors naturels chinois. Certes, l'intrigue de science-fiction est légère au point de s'évaporer sur l'écran, et l'interprétation est rudimentaire. Mais les cascades sont chorégraphiées avec viruosité et les corps-à-corps sont érotiques.