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Cette comédie œcuménique sur l’acceptation difficile d’un étudiant coréen par une population blanche combine ce qu’il y a de pire dans le cinéma américain indépendant, à savoir une tendance récurrente au décalage et un conformisme social qui contredit les bonnes intentions de départ.
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Cette comédie œcuménique sur l’acceptation difficile d’un étudiant coréen par une population blanche combine ce qu’il y a de pire dans le cinéma américain indépendant, à savoir une tendance récurrente au décalage et un conformisme social qui contredit les bonnes intentions de départ.
Toutes les critiques de Chu & Blossom
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Une comédie tendre, pas déplaisante, mais dont le sujet aurait mérité une mise en scène plus barrée.
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Si ces séquences sont savoureuses, elles ne suffisent pas à écarter une impression de déjà-vu, qui tient en réalité plus à la manière de traiter l’histoire qu’à l’histoire elle-même.
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Sous couvert de fantaisie bariolée, c’est une pochade assez conventionnelle, en particulier dans sa vision simpliste de l’art et des relations amoureuses.
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Si le film déçoit d’un point de vue narratif, son visuel est néanmoins très bien troussé.
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Une comédie tendre, pas déplaisante, mais dont le sujet aurait mérité une mise en scène plus barrée.
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Très mielleuses et à peine drôles, ces vicissitudes d'un étudiant coréen dans une petite ville américaine. Au point d'en devenir indigentes...
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Se défier des conventions tout en étant très conventionnel, voilà le paradoxe de Chu & Blossom, qui de manière naïve ne semble pas être conscient de ses propres clichés.