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Oriol Canals formule une subtile variation autour de destins de migrants, à l'équilibre entre modestie et ambition.
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Jamais misérabiliste, ni didactique, ce documentaire n'a qu'une ambition : filmer le combat d'hommes bien décidés à lutter pour leur dignité.
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La singularité du film repose sur celle de ses personnages. (...) On se demande pourquoi, du coup, il faut attendre la fin du film pour les entendre décliner, et revendiquer, leur identité.
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Visages cachés ou non, face à la caméra, ces survivants parlent de leur rêve initial d'une vie meilleure en Europe, puis de leur déception face à la réalité. Si le réalisateur privilégie davantage le témoignage des rescapés plutôt qu'un voyeurisme malsain, le documentaire prend un tour bavard parfois lassant.