-
Cela commence comme Mes séances de lutte, de Jacques Doillon : un personnage des villes se confronte physiquement à un personnage des champs – en pleine montagne, Tom aide ses parents dans leur ferme isolée. Très vite, l’ambiguïté de leurs rapports ne fait aucun doute. Ces deux-là sont faits pour s’entendre mais ne savent l’exprimer autrement qu’à travers des corps-à-corps rugueux. Franche complicité ? Attirance? Téchiné, aidé de sa coscénariste, la réalisatrice Céline Sciamma (Bande de filles), avance subtilement masqué avant qu’un événement dramatique ne remette les choses à plat de façon grossière. A posteriori, certains personnages semblent avoir une fonction purement utilitaire et gâchent un peu la bonne impression laissée par le trio principal, formidablement incarné.
Toutes les critiques de Quand on a 17 ans
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Quand on a 17 ans est ce qu'il a fait de mieux depuis... Les Roseaux sauvages.
-
Il y a quelque chose de très beau, presque utopique dans la manière de ne jamais opposer les classes sociales, de montrer une communauté humaine qui s’entraide devant les difficultés de la vie.