Titre original Gli anni più belli
Date de sortie 29 décembre 2021
Durée 129 mn
Réalisé par Gabriele Muccino
Avec Pierfrancesco Favino , Micaela Ramazzotti , Kim Stuart
Scénariste(s) Gabriele Muccino, Paolo Costella
Distributeur ARP SELECTION
Année de production 2020
Pays de production Italie
Genre Comédie dramatique
Couleur Couleur

Synopsis

C’est l’histoire de quatre amis, racontée sur quarante ans, en Italie, des années 1980 à aujourd’hui. La chronique de leurs espoirs, de leurs désillusions, de leurs amours, et surtout, de leur amitié.

Critiques de Nos plus belles années

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Depuis plus de 20 ans, Gabriele Muccino semble courir en vain derrière l’alignement des planètes qui avait donné naissance à Juste un baiser – merveilleusement interprété par Stefano Accorsi et Giovanna Mezzogiorno – son premier gros carton en salles, lauréat de cinq David di Donatello (les César italiens) et prix du public au festival de Sundance. Passé par Hollywood pour une succession de films sirupeux à souhait (A la recherche du bonheur, Sept vies, Père et fille), il est revenu depuis quelques années dans son Italie natale où il s’attaque ici à une fresque suivant pendant quarante ans les vies agitées de quatre amis adolescents romains. Impossible ici de ne pas penser aux figures tutélaires d’un tel type de film, le Nous nous sommes tant aimés d’Ettore Scola et le Nos meilleures années de Marco Tullio Giordana. Sauf que ces deux films- là possédaient une dimension réduite ici à la portion congrue : une traversée des événements politiques et sociétaux qui avaient marqué leurs époques respectives. Dopé aux tubes du Top 50 et tout à son obsession de créer une atmosphère joyeuse où toute mélancolie semble bannie, Nos plus belles années reste, lui, trop à la hauteur de ses seuls personnages, pour ne pas s’enferrer dans des intrigues mille fois vues et revues sans y apporter une quelconque originalité.

  2. Première
    par Thierry Chèze

    Depuis plus de 20 ans, Gabriele Muccino semble courir en vain derrière l’alignement des planètes qui avait donné naissance à Juste un baiser – merveilleusement interprété par Stefano Accorsi et Giovanna Mezzogiorno – son premier gros carton en salles, lauréat de cinq David di Donatello (les César italiens) et prix du public au festival de Sundance. Passé par Hollywood pour une succession de films sirupeux à souhait (A la recherche du bonheur, Sept vies, Père et fille), il est revenu depuis quelques années dans son Italie natale où il s’attaque ici à une fresque suivant pendant quarante ans les vies agitées de quatre amis adolescents romains. Impossible ici de ne pas penser aux figures tutélaires d’un tel type de film, le Nous nous sommes tant aimés d’Ettore Scola et le Nos meilleures années de Marco Tullio Giordana. Sauf que ces deux films- là possédaient une dimension réduite ici à la portion congrue : une traversée des événements politiques et sociétaux qui avaient marqué leurs époques respectives. Dopé aux tubes du Top 50 et tout à son obsession de créer une atmosphère joyeuse où toute mélancolie semble bannie, Nos plus belles années reste, lui, trop à la hauteur de ses seuls personnages, pour ne pas s’enferrer dans des intrigues mille fois vues et revues sans y apporter une quelconque originalité.