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Huit ans après Serial Noceurs, le tandem Vaughn-Wilson se reforme. Il y avait de quoi se réjouir, d’autant que le postulat du film offre pas mal de possibilités comiques. L’idée ?
Après avoir perdu leur job de vendeurs de montres, deux quadras décrochent un stage chez Google et se retrouvent en concurrence avec des nerds qui pourraient être leurs mômes. Malgré le côté spot de pub pour le plus célèbre des moteurs de recherche et à défaut d’être vraiment drôle, cette comédie réussit à capter quelque chose dans l’air du temps.
Toutes les critiques de Les Stagiaires
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Outre l’abattage des acteurs (belle complicité Wilson-Vaughn), c’est la clairvoyance sociologique du récit et son habileté à faire ripper la fantaisie comique vers les préoccupations réelles des travailleurs d’aujourd’hui qui insufflent à l’ensemble cohérence et humanité.
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Un film qui, malgré la part très belle faite à Google, se moque gentiment des nerds de la Silicon Valley.
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Bourré de références à la culture geek, le flm cite X-Men, Game of Thrones ou Flashdance et bénéficie dun casting de seconds rôles parfaits. Will Ferrell est impayable en vendeur de matelas tatoué et Josh Brener a tout à fait la tête du nerd tel quon limagine. À part leur côté promo pour Google, Les Stagiaires vous promettent deux heures de franche rigolade.
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Shawn Levy, vieux routier de la comédie US, parvient toujours à rester sur le fil du sarcasme et de l’enchantement burlesque. Outre l’abattage des acteurs (belle complicité Wilson-Vaughn), c’est la clairvoyance sociologique du récit et son habileté à faire ripper la fantaisie comique vers les préoccupations réelles des travailleurs d’aujourd’hui qui insufflent à l’ensemble cohérence et humanité. On ne peut qu’applaudir une comédie populaire formatée dont les enjeux consistent à décrocher un job, faire l’éloge de l’esprit d’équipe et subvertir gentiment mais sûrement les fondamentaux de la culture d’entreprise.
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Un film tellement pas drôle qu’il donne envie de se tordre les poignets.
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Difficile de bouder son plaisir face aux pitreries du blondinet et son pote (...) Cette comédie devrait plaire au jeune public.
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La comédie de Shawn Levy fait certes, un peu rire. Mais un peu peur, aussi.
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Si le duo d'acteurs comique parvient à insuffler un semblant d'énergie et à placer quelques gags (aidé par une courte apparition de Will Ferrell !), leur statut de VRP de luxe les oblige à filer droit. Flippant!
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Jovial, altruiste et hédoniste, ce concentré de bonne humeur et d’humour ravira tous ceux qui ne retien draient que l’omniprésence de cette multinationale dans le vent (gentiment égratignée). La comédie de l’été ?
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Une collection agréable de doux rires.
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Le placement de produit le plus évident de l’histoire, Google est traité comme une entité si prestigieuse qu’on doit s’incliner obligatoirement devant. Il y a quelque chose de dérangeant dans tout cela.
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Un gros clin d’œil à Google à travers une comédie de potes où on nous met dans la tête que les gens qui ont plus de 40 ans ne connaissent absolument rien à l’informatique ou à l’univers online.
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Levy est si occupé à mettre en avant ce moteur de recherche qu’il en oublie de donner un sens à son film.
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Ce film sur le recrutement chez Google aurait pu être charmant mais cette publicité de 119 minutes sur le moteur de recherche est particulièrement agaçante.
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Il faut vraiment voir Les Stagiaires jusqu’au bout, attendre son terme, s’étonner de l’aboutissement de chacun de ses enjeux, pour prendre ainsi pleinement conscience de sa drôle d’entreprise : un Social Network de commande, sorte de « comédie dédiée », au programme de propagande aussi limpide que décontracté.
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Comédie drôle et pimpante de l'ère 2.0, qui oppose gentiment les générations.
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Cette comédie (...) n'est rien d'autre qu'une gigantesque publicité pour l'entreprise Google (...). La présence [de Vince Vaughn et Owen Wilson] suggère pourtant un possible détournement, une éventuelle satire. Mais il n'en est rien.
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Mauvaise pioche ! Hormis quelques bonnes vannes, l'impression d'assister à une pub pour le géant de l''Internet dérange, au point de nous ôter l'envie de rire.
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Reste nos deux larrons, qui ne sont pas à leur place mais enchaînent les blagues pas drôles et vont décoincer leurs camarades obsédés par le HTML5 et leur Smartphones. Leur énergie positive et leur volonté d'en découdre vont compenser leur ignorance. Une valorisation du capitalisme à l’américaine, le tout surveillé par l'œil omniscient de Google en Big Brother glorifié qui nourrit généreusement ses employés et rappelle les heures du taylorisme… Éthiquement limite. Et même pas drôle.
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Les Stagiaires remplit bien son cahier des charges et n'a pas oublié sa « séquence boîte de nuit » terriblement banale et symbole de la médiocrité du film. Tout juste peut-on se satisfaire qu'il s'agisse des seuls instants où la « googliness » n'envahit pas l'écran... Toujours est-il qu'après 119 minutes de leçon de morale et de blagues qui tombent à plat, votre première volonté sera peut-être de partir, via google, en quête d'un nouveau moteur de recherche !
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Tous les éléments du film semblent dépassés : les acteurs, l’histoire, la comédie, absolument tout. Et le pire, c’est que tout ça dure 2 heures !
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La nouvelle comédie de Shawn Levy ne renouvelle pas, loin de là, le genre. Mais, grâce à son excellent duo d'acteurs, éternels losers de la comédie américaine, Les Stagiaires parvient à faire mouche, provoquant des rires aussi fréquents que superficiels.
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Un film dépourvu d’idées, de rires, il ne justifie aucunement la crédibilité de ce duo égocentrique.
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Le réalisateur et les scénaristes ont rêvés d’une comédie sympathique pour arriver finalement à un résultat de déjà vu.
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Comme les VRP de Jéhovah, les Témoins de Google vous feront regretter de ne pas avoir de chien de garde. Même mental.
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On est très, très loin de Serial Noceurs. Si on n’avait pas une énorme sympathie pour le duo, on trouverait même ça complétement nul. Et même l’apparition de Will Ferrell est décevante.
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Une comédie sans allant vantant benoîtement l’univers ultracodifié – mais « fun » – de l’entreprise Google. Taper « pomme Q ».
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Toujours lamentable, jamais drôle.