-
(...) Delphine Gleize n'exploite presque jamais la spécificité de cette allergie à la lumière ni son formidable potentiel visuel, choisissant de se focaliser sur la relation entre un médecin et un enfant condamné à l'isolement. Sans réelles ambitions formelles, ce drame médical permet avant tout de mettre en avant Vincent Lindon, qui s'est fait une spécialité de ces figures de héros du quotidien. C'est dans son regard alerte, sa démarche rapide, sa voix brumeuse que La permission de minuit trouve sa raison d'être.
Toutes les critiques de La Permission de minuit
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Entre drame médical et chronique ado, un film sur une maladie génétique rarissime qui préfère la poésie au pathos.
-
"La Permission de Minuit" Boulversant !
-
De ce sujet casse-gueule, Delphine Gleize tire un drame sensible, pudique et un peu contrit, porté par un Vincent Lindon une fois de plus bluffant par sa puissance d’incarnation.
-
Sans pathétique, la mise en scène, sobre et fluide, s'associe à une sensibilité unique dans une fusion de pensées, du concret du geste et d'émotions.
-
Ce qui fait le prix de ce film est sa retenue, sa pudeur, son absence de pathos, la bonne distance où se situe la réalisatrice par rapport à ce qu'elle dépeint. Delphine Gleize ne dramatise pas, n'abuse pas de son sujet. (...) Un film à pellicule ultrasensible où le jeune héros est condamné à la chambre noire.
-
Ce beau filme touche en plein coeur
-
Cette permission de minuit est jouée avec justesse et humanité .