-
À 48 ans, Eddie Murphy oublie parfois et enfin d’en faire trop. À 9 ans, Yara Shahidi ne peut être que mignonne et touchante. Qui a déjà soupé de l’amour paternel en images ne reprendra cependant pas de ce dessert à la recette trop simpliste et passera directement au café pour tenir la longueur d’un film dont on connaît la fin.
Toutes les critiques de Dans ses rêves !
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
L'histrion grotesque de Norbit ou Pluto Nash continue donc de s'enfoncer dans les grottes de la nullité avec cette sirupeuse farce familiale. Oui, décidément, pauvre Eddie Murphy.
-
Passant sur les faiblesses d’écriture et de jeu qui plombent chaque scène, on pouvait s’attendre, en ces temps de dégonflement financier, à une charge, ou pour le moins un coup de griffe, contre Wall Street… C’est tout l’inverse, et le film d’affirmer le plus sérieusement du monde : all you need is love… and a pile of stock-options. Dans ses rêves, en effet.
-
Perdu dans cette comédie crétine à la poésie frelatée, Eddie Murphy en fait des tonnes pour essayer de nous rappeler qu’autrefois ses mimiques faisaient rire.