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Des stérotypes, plus que des personnages, du coup le résultat flirte parfois avec la sitcom. (...) Il n'empêche : son rythme, sa générosité et sa bonne humeur, s'avèrent au final assez payants.
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Derrière le rire se cachent la tendresse et l’absolue nécessité de rompre, pour toutes les générations, une solitude plus souvent subie que choisie. Alors oui bien sûr, le scénario n’est pas d’une grande originalité, les ficelles parfois un peu grosses et les incohérences nombreuses (...).
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Des humoristes patentés ont été convoqués (Bérengère Krief, Arnaud Ducret) pour pallier la pauvreté des dialogues et les carences d'un scénario qui compte plus d'auteurs (quatre) que d'idées : c'était trop leur demander.