Vendredi dernier, Jeane Manson n'a pas fait le poids face à Hermine et Francky, plébiscités par le public. Mais la chanteuse n'a pas l'air déçue d'avoir quitté la Ferme, où, comme elle le confie au micro de Premiere.fr, "les êtres humains sont pires que les animaux !" Écoutez-la raconter son expérience... Jeane Manson a été éliminée par les votes du public lors de l'émission de vendredi dernier, laissant sa place à Hermine de Clermont-Tonnerre et Francky Vincent. Mais comme elle nous l'a confié lors de cette interview, la chanteuse n'est pas effondrée d'avoir quitté le jeu... Si elle reconnaît que "c'était une très belle expérience", en revanche Jeane s'avoue surtout déçue par sa participation à cette émission de télé-réalité. "J'attendais plus de comédie, de musique, de joie, de partage entre les gens" nous explique-t-elle. Or en guise de partage, ce sont surtout des insultes que les candidats échangeaient, au grand désespoir de la gentille Jeane qui ne savait plus quoi faire pour calmer les tensions. "Disons que c'était pas toujours facile, à partir du moment où toutes les insultes ont éclaté. J'essayais de comprendre pourquoi, d'apaiser les gens tout le temps, mais finalement j'ai fui (...). Comme j'étais pas vraiment chef, personne ne voulait m'écouter..." Et au premier rang de ceux qui n'écoutent pas ce qu'on lui dit, on retrouve souvent notre cher Mickaël Vendetta ! S'il se retrouve nominé cette semaine, aux côtés de David Charvet et Farid Khider, le jeune homme peut pourtant se vanter d'être LE phénomène de la Ferme... Jeane le qualifie d'"enfant rebelle. L'ado qui n'a pas encore fait son adolescence. Il avait deux facettes : Michael gentil, et l'autre, le provocateur." En résumé, la chanteuse regrette surtout que ses petits camarades en aient fait trop. "Il y avait beaucoup de calculateurs, de groupes (...). Ils ne sont pas restés naturels (...). Finalement moi aussi j'ai craqué, de voir des êtres humains se comporter pire que des animaux sauvages qui s'entretuent, c'était un peu dommage ! On est quand même des adultes..."