Le réalisateur de 99 Francs fait un cameo dans 9 mois ferme. Jan Kounen nous raconte Albert Dupontel.Ma rencontre avec Albert Albert est venu vers moi au début des années 90 pour me proposer de mettre en scène des pastilles de ses « Sales histoires ». À l’époque, j’avais juste tourné mon court métrage, Gisèle Kerozène, qu’il avait remarqué. Dans l’esprit, ça connectait mais je ne l’avais pas fait car je démarrais alors le cinéma et je n’avais pas envie de tourner en vidéo. On est cependant restés copains.Mon travail avec AlbertDans les années 90, Albert s’intéressait à tous les jeunes cinéastes émergents. Quand il s’est mis lui aussi à réaliser des courts métrages, il a utilisé mon chef op’, Michel Amathieu. Depuis cette époque, nous échangeons beaucoup sur le cinéma, sur nos films et ceux des autres, nous allons sur nos tournages respectifs. Quand il m’a demandé de faire une apparition dans9 mois ferme, j’ai évidemment accepté.Mon avis sur Albert Albert fait un type de films qui demande une énergie incroyable. Et en plus, il joue dedans ! Il y a un côté happening permanent chez lui qui m’épate. C’est un taureau. Il faut faire attention sur son passage.Propos recueillis par Christophe Narbonne9 mois ferme d'Albert Dupontel, avec Albert Dupontel, Sandrine Kiberlain et Nicolas Marié, en salles le 16 octobre : Dupontel vu par Jean DujardinDupontel vu par Catherine FrotDemain Terry Gilliam
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- « Albert, c’est un taureau. Il faut faire attention sur son passage » : Dupontel vu par Jan Kounen
« Albert, c’est un taureau. Il faut faire attention sur son passage » : Dupontel vu par Jan Kounen
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