Riddick

Modeste mais ambitieux, un nouveau volet réussi de la saga du guerrier Riddick.

Véritable régal pour les amateurs de space-opéra et de dark fantasy, "Riddick" [est] (...) une bonne série B qui (...) se veut généreuse et n'aspire à rien d'autre qu'à divertir.

Un méli-mélo vibrant et stylisé, plutôt bien découpé mais tellement éparpillé qu’il ne reste, au final, aucune cohésion.

Un film plutôt cheap mais qui a le mérite d’avoir le sens de l’humour.

« Riddick » est peut être un peu kitsch et stupide, également violent mais il est drôle.

Ce volet est fidèle au format de l’épopée mais n’a pas l’esprit des précédents, cette version plutôt molle ne met pas du tout en avant le personnage mythologique de Riddick.

Ce film sombre, appuyé de nombreux plans serrés rendent la situation très floue, la mise en scène nous rend claustrophobe.

Cette trouble franchise n’a aucun intérêt, il n’y a rien à voir, ni personne à soutenir.

Au cinéma, il n’y a pas de dates d’expiration pour les personnages mais si certains venaient à disparaître, « Riddick » ne manquerait à personne.

Bâclé est le terme que l’on peut utiliser pour qualifier les dialogues de « Riddick », le 3ème et dernier volet de cette saga.

Un film sans saveur, les aliens ne sont pas impressionnants, Vin Diesel est trop silencieux pour être intéressant et les autres personnages sont insipides ou repoussants.