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Que faire pour séduire une féministe gauchiste quand on est richissime ? Racheter l’usine en faillite dans laquelle elle travaille. Plus « pitché » que ça, tu meurs ! Le précédent film de Nicolas Cuche, La Chance de ma vie, souffrait déjà du même défaut : un remplissage mécanique du cahier des charges imposé par la nature restrictive du scénario. Lutte des classes, opposition des styles de vie, atermoiements des coeurs... Rien de nouveau dans la romcom française, si ce n’est la pêche d’Aïssa Maïga, que l’on souhaiterait voir davantage en tête d’affiche.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Max Boublil poursuit son ascension et s’affrme comme le nouveau héros de la comédie romantique. Très à l’aise dans la “déconne”, l’humoriste ajoute une couleur à sa palette et se montre également crédible dans l’émotion.
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Ce conte sentimental (et social) n’a qu’une seule ambition : divertir. Pari gagné haut la main ! Il faut dire que Max Boublil forme, avec la craquante Aïssa Maïga, un tandem aussi drôle qu’attachant.
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Une comédie bien ficelée autour de Max Boublil et de sa bonhomie.
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On est un peu inquiet au démarrage mais le film prend ensuite ses marques sans effort, entre énergie et tendresse, en bénéficiant du charisme de ses deux acteurs principaux. Max Boublil est tout à fait crédible, Patrick Timsit excellent en point d'appui comique et Aïssa Maïga nous rappelle combien elle est toujours trop rare au cinéma.
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Nicolas Cuche brode un scénario plutôt classique et bien tenu de comédie romantique. C'est dommage qu'il ne nourrisse pas suffisamment les personnages secondaires (...)
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Sur un scénario maladroit et ultra balisé, cette comédie romantique poussive peine à arracher quelques sourires.
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La nouvelle comédie de Nicolas Cuche (La chance de ma vie) est un nouveau raté dans le genre qui souffre une fois de plus de traits d’écriture grossiers, incompréhensibles à notre époque !
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Si Max, de volte-face en volte-face, a décidément du mal à s’assumer comme il est, le film, lui, ne fait qu’un effort de surface pour dissimuler sa vraie nature. Soit un produit pensé par et pour la télévision, carburant aux gags à peine dignes d’un épisode de Soda, aux drames en deçà du minimum de Plus belle la vie et aux stéréotypes affichés avec un sourire cool (bonjour l’image de la Thaïlande), et rendu encore plus antipathique par son simulacre de générosité et son point de vue social d’un autre âge.