Toutes les critiques de Parce que j'étais peintre

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    En s’intéressant aux peintures réalisées par des déportés, Christophe Cognet s’interroge avec acuité sur les notions de beauté artistique et de représentation de l’horreur. Le refus des certitudes et des idées arrêtées rend alors les interviews aussi riches que pertinentes.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Un très beau documentaire, à la fois richement documenté et d’une belle pertinence intellectuelle. Digne.

  2. Les Fiches du cinéma
    par Marguerite Debiesse

    Ce documentaire creuse la question irrésolue de l'art face à l'horreur : flottante par moments, cette démarche inédite suscite cependant de vertigineuses réflexions.

  3. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Avec sobriété et précision, le documentariste Christophe Cognet fait habilement le tour de la question, alternant témoignages des artistes survivants et contemplation des oevures dont la beauté n'a d'égale que la puissance évocatrice.

  4. Critikat.com
    par Mathieu Amat

    On ira voir Parce que j’étais peintre pour la qualité de l’enquête et l’instruction que l’on en retire ; on se nourrira plus des œuvres que nous découvre la caméra que du mouvement qu’elle trace, légèrement intempérant, manquant d’assurance et d’engagement.

  5. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    Le nouveau film du documentariste Christophe Cognet a ceci de singulier qu’il aborde un sujet sensible avec une infinie délicatesse, une sérénité apparente que seul son filmage, comme hésitant, vient contredire : la beauté dans un camp d’extermination

  6. Le Monde
    par Sandrine Marques

    On est saisi de la précision du trait, de la fidélité de la reproduction des camps et de ses baraquements. L'œil se fait alors topographe et témoin comme jamais, grâce à ce dispositif aussi simple que sophistiqué. La physicalité du plan à laquelle touche le réalisateur dans ces très belles séquences relève de l'acte de résistance. C'est le triomphe du vivant sur la désolation, la mort et le chaos.

  7. Le Canard Enchainé
    par Sorj Chalandon

    Ce documentaire sans effet ni artifice, nous emmène en enfer. Là où le destin des hommes reste sans réponse. Et où pourtant, malgré tout, palpite une terrible beauté.

  8. Télérama
    par Yasmine Youssi

    Sujet passionnant mais traitement frustrant : ce documentaire s'adresse à des spécialistes de l'art dans les camps, sans rien mettre en perspective.

  9. La Croix
    par Corinne Renou-Nativel

    Plutôt que d’avancer dans un récit, il propose une "quête sensible", mais semble mettre à distance autant que possible l’émotion de son sujet si fort.

  10. Le JDD
    par Danielle Attali

    Parce que j’étais peintre à l’air de vouloir éviter des questions plus prosaïques mais passionnantes : comment les artistes survivaient et trouvaient du papier et des mines de crayon, comment cachaient-ils leurs dessins ? Du coup, le traitement donne le sentiment que le film est passé à côté d’un sujet plus grand et bien plus humain.