David Koskas/M6
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Dans la peau d'une grande : Claire Keim, au secours, j'ai trente ans !

<strong>Après Les Edelweiss (TF1), la pétillante Claire Keim revient sur M6 dans le désopilant conte des temps modernes, Dans la peau d'une grande, diffusé à 20h45. Elle y joue une ado de 15 ans qui se réveille après des années de coma dans la peau d?une sexy trentenaire. Interview avec Claire Keim réalisée pour Télé 7 Jours.</strong> <strong>Qu?est-ce que cela fait de se replonger dans son adolescence&nbsp;?</strong> C?est rafraîchissant&nbsp;! D?autant qu?elle n?a plus d?acné mais le corps d?une femme. Nous sommes dans le domaine du conte&nbsp;: l?ado sort de quinze ans de coma, sans séquelle et avec la même idée que le jour de son accident à savoir faire l?amour avec son amoureux. Et elle est prête à tout pour parvenir à ses fins. J?ai adoré, le temps d?un film, avoir tous les droits&nbsp;: être odieuse, speed et pouvoir changer d?avis sans arrêt. <strong>Avez-vous puisé dans vos souvenirs ?</strong> Juste pour les sentiments : lui et moi c?est pour toujours ou je meurs de chagrin. Pour le reste, c?est très loin de ce que j?ai vécu à 15 ans. J?ai bossé à partir de 11 ans, arrêté l?école à 16. Mes parents m?ont émancipée, j?habitais seule à Paris dans une chambre de bonne. J?ai du ranger au placard ma candeur pour enfiler un costume de fille sérieuse et bosseuse.&nbsp;Vraiment pas le même délire qu?Olivia ! Ma révolte ado a été stoppée net. Du coup, aujourd?hui, il peut m?arriver de faire de mini crises, d?avoir des réactions excessives voire puériles? Je m?autorise plus de libertés et de folies qu?à 15 ans. <strong>Avec Mathieu Delarive, qui joue votre amoureux à l?écran, le courant semble bien passer?</strong> Et pour cause, on se connaît depuis quinze ans. Amusant, non&nbsp;? Nous appartenions à la même bande de potes, mais n?avions jamais bossé ensemble. Du coup, le tournage a été encore plus agréable. À part la scène du baiser langoureux en boîte de nuit façon La Boum&nbsp;! Mathieu avait une petite barbe, j?avais l?impression de me frotter à du papier de verre. Résultat, une bonne irritation ! <strong>Comment avez-vous fait pour adopter la gestuelle propre aux ados&nbsp;?</strong> Je me suis inspirée des mimiques des copains de Tximista (l?éclair en Basque, le fils aîné de Bixente Lizarazu né d?une précédente union, ndlr). J?ai étudié leur démarche nonchalante (elle baisse les épaules), leur façon de s?avachir dans les canapés (elle se laisse glisser sur sa chaise), de se triturer les cheveux (elle entortille une de ses mèches)? Mais je n?ai rien piqué à Tximista qui est très réfléchi, hyper posé? Plus que moi&nbsp;! <strong>Comme Olivia, rêviez-vous au grand amour&nbsp;?</strong> Bien sûr? Je rêvais de trouver quelqu?un qui me comprenne et m?aime pour ce que je suis vraiment? Je croyais que cela allait être mission impossible mais de ce côté-là, ça va&nbsp;! Avec Bixente, nous sommes en phase, nous avons les mêmes convictions sur l?éducation ou l?écologie. <strong>Entre la protection de la bio diversité, les femmes battues, les Restos du C?ur, vous vous engagez dès que vous le pouvez? </strong> Si on peut servir des causes nobles, il faudrait être idiot de ne pas le faire. Ma parole n?est pas politique, juste citoyenne. Quand je suis avec les Enfoirés, ça me rassure, je me dis qu?il y a plein de gens bien, que tout n?est pas foutu. <strong>Interview Uriell Ceillier de Télé 7 Jours</strong><strong> </strong>

Claire KEIM, Mathieu DELARIVE

Marie Armelle DEGUY

Lannick GAUTRY

Penelope LEVEQUE

Penelope LEVEQUE, Marc RIOUFOL, Claire KEIM, Marie Armelle DEGUY

Claire KEIM, Julie Anne ROTH

Claire KEIM

Claire KEIM, Lannick GAUTRY

Claire KEIM

Julie Anne ROTH

Julie Anne ROTH

Mathieu DELARIVE

Après Les Edelweiss (TF1), la pétillante Claire Keim revient sur M6 dans le désopilant conte des temps modernes, Dans la peau d'une grande, diffusé à 20h45. Elle y joue une ado de 15 ans qui se réveille après des années de coma dans la peau d’une sexy trentenaire. Interview avec Claire Keim réalisée pour Télé 7 Jours.Qu’est-ce que cela fait de se replonger dans son adolescence ?C’est rafraîchissant ! D’autant qu’elle n’a plus d’acné mais le corps d’une femme. Nous sommes dans le domaine du conte : l’ado sort de quinze ans de coma, sans séquelle et avec la même idée que le jour de son accident à savoir faire l’amour avec son amoureux. Et elle est prête à tout pour parvenir à ses fins. J’ai adoré, le temps d’un film, avoir tous les droits : être odieuse, speed et pouvoir changer d’avis sans arrêt.Avez-vous puisé dans vos souvenirs ?Juste pour les sentiments : lui et moi c’est pour toujours ou je meurs de chagrin. Pour le reste, c’est très loin de ce que j’ai vécu à 15 ans. J’ai bossé à partir de 11 ans, arrêté l’école à 16. Mes parents m’ont émancipée, j’habitais seule à Paris dans une chambre de bonne. J’ai du ranger au placard ma candeur pour enfiler un costume de fille sérieuse et bosseuse. Vraiment pas le même délire qu’Olivia ! Ma révolte ado a été stoppée net. Du coup, aujourd’hui, il peut m’arriver de faire de mini crises, d’avoir des réactions excessives voire puériles… Je m’autorise plus de libertés et de folies qu’à 15 ans.Avec Mathieu Delarive, qui joue votre amoureux à l’écran, le courant semble bien passer…Et pour cause, on se connaît depuis quinze ans. Amusant, non ? Nous appartenions à la même bande de potes, mais n’avions jamais bossé ensemble. Du coup, le tournage a été encore plus agréable. À part la scène du baiser langoureux en boîte de nuit façon La Boum ! Mathieu avait une petite barbe, j’avais l’impression de me frotter à du papier de verre. Résultat, une bonne irritation !Comment avez-vous fait pour adopter la gestuelle propre aux ados ?Je me suis inspirée des mimiques des copains de Tximista (l’éclair en Basque, le fils aîné de Bixente Lizarazu né d’une précédente union, ndlr). J’ai étudié leur démarche nonchalante (elle baisse les épaules), leur façon de s’avachir dans les canapés (elle se laisse glisser sur sa chaise), de se triturer les cheveux (elle entortille une de ses mèches)… Mais je n’ai rien piqué à Tximista qui est très réfléchi, hyper posé… Plus que moi !Comme Olivia, rêviez-vous au grand amour ?Bien sûr… Je rêvais de trouver quelqu’un qui me comprenne et m’aime pour ce que je suis vraiment… Je croyais que cela allait être mission impossible mais de ce côté-là, ça va ! Avec Bixente, nous sommes en phase, nous avons les mêmes convictions sur l’éducation ou l’écologie.Entre la protection de la bio diversité, les femmes battues, les Restos du Cœur, vous vous engagez dès que vous le pouvez… Si on peut servir des causes nobles, il faudrait être idiot de ne pas le faire. Ma parole n’est pas politique, juste citoyenne. Quand je suis avec les Enfoirés, ça me rassure, je me dis qu’il y a plein de gens bien, que tout n’est pas foutu.Interview Uriell Ceillier de Télé 7 Jours